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De quelle manière la femme apparaît-elle comme l'inspiratrice du poète ?

Commentaire de texte : De quelle manière la femme apparaît-elle comme l'inspiratrice du poète ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  23 Février 2018  •  Commentaire de texte  •  1 125 Mots (5 Pages)  •  1 809 Vues

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BAC BLANC 5 « ÉCRITURE POÉTIQUE ET QUÊTE DE SENS »

Réponse a la question de corpus  :

        La poésie est un genre littéraire ayant traversé différent siècle de l’Antiquité en passant par le siècle des lumière jusqu’à sa disparition au terme du XX° siècle.

Nous allons étudier trois poésies du XIX° siècle et du X° siècle dont deux étant de Charles Baudelaire :« A une passante » de Charles Baudelaire extrait de « Les Fleurs du Mal » paru en 1861 ; « Le désir de peindre » de Charles Baudelaire extrait de « Le Spleen de Paris paru en 1869. Enfin nous nous intéresserons a l’œuvre de Philippe Jaccottet « La lumière d’hiver » extrait des Édition Gallimard, paru en 1977. Nous pouvons dés à présent noté que la femme tient une place primordiale dans ces poésie.

        Nous allons donc nous demander en quoi la femme apparaît comme l’inspiratrice du poète dans ces poèmes ?

        Pour commencer dans « A une Passante » le poète réalise une oxymore dans le second vers en associant les mots « douleur » et « majestueuse » l’un après l’autre : « Longue mince, en grand deuil, douleur majestueuse » (Vers 2).

De plus nous pouvons remarquer le champs lexical de la beauté dans ce poème : « Longue mince » « majestueuse » (vers 2) « Noble » « Jambe de statue » (Vers 6) « Fugitive beauté » (vers 9) qui a pour but de créés un contraste entre cette femme « majestueuse » et le poète qui ce qualifie d’alcoolique « Moi, je buvais crispé comme un extravagant » (vers 6). Nous pouvons également penser que la beauté de cette femme est impérissable « Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? » (vers 11).

Baudelaire utilise également des référence a la météorologie lorsqu’il réalise cette métaphore « Dans son œil, ciel livide ou germe l’ouragan » ou il exprime ses sentiment lorsqu’il observe les yeux de la splendide femme. Nous pouvons noter que c’est au moment ou la passante a regarder Baudelaire qu’il a compris son amour pour la belle « Dont le regard ma soudainement fait renaître ». Il fait des référence au temps également encore lorsqu’il écrit « Un éclair… puis la nuit ! Fugitive beauté » (vers 9) ou il compare la beauté de la femme a un éclair qui jailli.

        

Dans « Le désir de peindre » le poète nous expose une nouvelle fois la beauté de celle qu’il veut peindre « Belle » « Délicieuse ».

Nous pouvons remarquer dès le départ que le poète a beaucoup contemplées la femme étant donner sa façon de la décrire mais il nous fait part également d’un sentiment de regret lorsqu’elle venu a disparaître « M’est apparue si rarement et qui a fui si vite, comme une belle chose regrettable » (vers 3 à 4).

Baudelaire fait une nouvelle fois référence a la beauté des yeux de la femme avec une comparaison comme il l’avait fait dans « A une passante » : « Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère » (vers 9 à 10) cela signifie que c’est yeux sont des repères secret qui s’accorde parfaitement a l’aspect mystérieux de la femme. De plus il compare son regard a un éclair qui l’illumine « Son regard illumine comme l’éclair » (vers 10 à 11).

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