Commentaire d'incipit

Commentaires sur l’incipit

Pour ce commentaire nous nous demanderons en quoi cet incipit est original. Dans un premier temps nous verrons que la ville d’Oran est une vile anodine puis dans une deuxième partie nous nous intéresserons au narrateur et enfin nous verrons la portée symbolique de cette description.

1-La ville d’Oran, une ville anodine.

1. Une ville banale

La ville d’Oran est représentée comme si c’était une ville sans originalité

« une ville ordinaire » L.3 c’est dire qu’il n y a rien de spécial  a ligne trois il y a un adjectif qualificatif épithète « ordinaire » cela qualifie la ville, on a donc une vision dune ville banale « rien de plus » L.3. On retrouve aussi des tournures restrictives « sans pigeons, sans arbres, sans jardin » L.7 a 8 ici il insiste et répète le mot « sans » pour nous montrer la banalité de cette ville et ces limites car il n y a pas d’arbre, de jardin et de pigeons. Ensuite on voit aussi qu’il y a une énumération a la ligne 8 « ni bâtiment dailles ni froissement de feuilles » qui montre le silence de cette ville ainsi que l’ex suivant « D’aspect tranquille » L.5 que la ville est tranquille.

1. Des habitants sans relief

On constate que les nombreux habitant d’Oran accordent beaucoup d’importance au travail avec les adverbes « toujours » L.19 « surtout » L.19 « d’abord » L.20. Le présent de vérité général est utilisé pour parler de la vie quotidienne et de leur vie amoureuse L.23 L.27. On voit que la société est séparée « des plus jeune » L.24 « des plus âgée » L.24 cela montre que la société c’est séparer en deux. Puis on voit aussi qu’il y a trop de routine « on s’y applique a prendre des habitudes » L.18 il y a aucune originalité car il reste sur leurs vieille habitude cela nous montre que les habitant sont en routine constant. Enfin ils nous montrent le déroulement de leur vie amoureuse « s’engagent » L.36 « on est bien obliger de s’aimer sans le savoir » L.38 il utilisent l’ironie pour montrer au lecteur qu’ils sont obliger de s engager.

1. Le rythme de la vie

Nous avons l’adjectif « tranquille» L.5 qui nous montre que le rythme de la vie est lent, puis nous avons l’adverbe « seulement »L.10 qui est explique que les changement ce font seulement lors des changement de saison c’est donc un changement léger qui n’apporte rien plus a cette ville c’est donc a chaque fois la même chose. Puis il y a l’exemple suivant « de même frénétique et absent » L17 sui montre que tout ce fait automatiquement mais le changement est inexistant.

2- Le narrateur mystérieux et critique

1. La description de la ville d’Oran faite par le narrateur tout en restant anonyme

Le narrateur décrit la ville d’Oran et en même temps il reste anonyme, il emploie des pronom personnelles comme par exemple « nous » L.35 il utilise aussi des déterminent possessifs « notre » L.16 « nos »L.18 cela est pour montrer que tout le monde est concernés. Le narrateur est bien présent dans ce texte mais on ne sait pas de ou car il a un point de vue interne.

1. Un point de vue d’objectivité

Nous avons eu un point de vue d’objectivité car on réalise que pour toute les villes on utilise la même grille d’analyse que toutes les villes sont identique il utilisent le présent de vérité générale pour les description « il faut quelques temps pour apercevoir ce qui la rend différente de tant d’autre ville » L.6.

...