Commentaire composé lettres persannes
Commentaire de texte : Commentaire composé lettres persannes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nils Cros • 9 Mars 2019 • Commentaire de texte • 848 Mots (4 Pages) • 708 Vues
Commentaire composé
Ce texte est une lettre qui provient du roman épistolaire les Lettres Persanes du genre romanesque, dans la partie du roman du sérail , qui est écrit anonymement pour des raisons d’éthique et de bien séance par Montesquieu, philosophe français du 18eme siècle qui lutte contre l’esclavage l’église, la royauté l’obscurantisme, la superstition et l’intolérance des classes bourgeoise et de la noblesse par le fait de promouvoir les connaissance, les idées nouvelle du siècle des lumières . C’est un roman qui fait le satyre des dérives et des défauts du monde occidentale et du monde oriental par le biais de porte-parole qui illustrent les pensées et les avis de Montesquieu.
Dans cette lettre Roxane, qui est une fidèle du sérail et une des épouse de Usbek, despote des lieux, va exprimer et délivrer ses dernières paroles a son mari car elle veux mettre un terme a sa vie suite au sacrilège commis par une femme, qui est de tromper son mari. Elle va lui dévoiler tout son chagrin et ses faiblesse, tout ce qu’elle n’as pas osé lui dire durant la courte durée de sa vie. On peut retrouver le registre tragique dans la mort et le registre polémique qui instruit sur la condition de la femme.
Elle va, en quelle que sorte démontrer et promouvoir le statut de la femme en orient en faisant cet acte car l’orient et une société fondé sur le patriarcat donc le statut de la femme n’est pas pris en compte car elle est prise pour un objet, elle est une percusseuse du mouvement du féminisme en orient.
Dans ce commentaire nous viendrons a nous demander comment Montesquieu va établir une figure du féminisme par une fin tragique et emblématique
A cette question , pour commencer nous verrons qu’une femme va se dévoiler et être libre dans sa position, pour enfin voir qu’un homme à pu être trahi et qu’il seras déchu.
Dans ce texte, Roxane est dans une phase qui est proche de la mort, on peut donc remarquer que cette lettre possède une fin tragique même si Roxane tout au long de sa vie était une femme vigoureuse, vive et violente, ce qui met un terme à cette vie tumultueuse par la mort. On peut déjà le voir par le lexique de la mort : « Je meurs, poison, violence, haine, répandre le sang ». Elle va aussi utiliser la mort pour insulter son mari en utilisant un euphémisme « n’est plus » pour montrer que son âme est déjà perdu et qu’il est au même stade que elle. Elle va aussi utiliser la périphrase « le plus beau sang du monde » qui fait référence a son mari et qui dénigre sa personne en le mortifiant. Elle va utiliser la mort comme un moyen de délivrance a tout les supplices et des sacrifices qu’elle as enduré par la gradation des termes suivant qui vont mettre en port à faux Usbek : « tu devrais me rendre grâce(l 10)-ma soumission à tes fantaisies ( l 13) », elle réduit sa vie a un enchainement de chose ridicules et de supplices occasionnées par son tortionnaire
On peux ensuite voir qu’elle devient la femme libéré qu’elle révait d’être, loin de son mari et pouvant exécuter tout les désirs qu’elle souhaitait loin du regard d’un mari oppressant et dictateur dans ses dernières phrases qui la délivre de son fardeau par la délivrance de pouvoir exprimer toutes ses opinions, ses émotions sans avoir la peur d’une réprimande venant d’Usbek.
On peut tout d’abord voir que tout le récit est écrit majoritairement par le personnage principale Roxane en utilisant le pronom a la première personne du singulier « je » par rapport au « tu » d’Usbek pour montrer que Roxane domine son interlocuteur et le rabaisse une fois pour toutes. Elle va utiliser aussi le subjonctif « forçasse encore d’admirer mon courage ? » qui exprime un ordre via un désir pour désaprésent imposer des règle et des souhait qu’elle veux que son mari effectue. Elle vient aussi l’insulter en le réduisant a une condition d’enfant qui n’agit que par ses caprices, elle va se moquer de lui en disant qu’elle ne pouvait pas se rabaisser a cette injure qui est d’adorer ses caprices : « comment (l6)-caprices (l7) » .
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