Commentaire : Bel ami, Maupassant

Extrait situe spres mort de forestier (G et M veillent la mort). Extrait suit entièrement le PDVInterne de Georges Duroy. 3éme fois thème de la mort ds ce roman.

I angoisse de la mort : texte divisé : 2 part :1)  G-D absorbé contemplation du cadavre de Forestier, l’idée qui le frappe est le caractère éphémère de la vie, (vie qui se réduit à peu de temps) : que ce soit celle de Forestier (l.1) ou plus généralement celle de tout homme (l.3)(l.9). par une double gadation avec un paralalelisme que idée reprise (l.18àl.22). + Plusieurs expressions consistent à minimiser de façon excessive la durée de l’existence « Une vie! quelques jours… », « …aux hommes qui vivent quelques ans… », « quelques aurores de plus »..

Vie se résume à peu de  choses: celle de Forestier (l1à3). La pensée de G-D le conduit du cas particulier de Forestier au cas général de tout être humain: une vie se résume ainsi (l 4à5).

Adpect définitif de la mort qui frappe duroy qui se souvient des paroles de Norbert de varennes qui sont reprises sous forme d’une gradation (l 12 à13).idée douloureuse car homme reve oposé  d’eternité (l6à10).  angoisser, c’est la certitude du néant: « …fini pour toujours. », «3à4»,15à17 

L’angoisse de G-D face à la mort est omnipresente : se matérialise par de nombreux point d’exclamation exprimant sentiment des perso.

II retour à la vie : « Il détourna les yeux pour ne plus regarder le cadavre » : phrase constitue tournant du texte, phrase charnière. Nous suivons regard de G-D grace au PDVInterne et nous suivons chemin de ses pensée. Or G-D avant tout homme de désir qui ne peut réssister à Made, au reveil de sa sensualité. Cela lui est d’autant plus facile que celle-ci est absorbée dans ses pensées et ne regarde pas Duroy :L31. G-D touché par beauté de Made : (L26à29).

Made apparait devant yeux de G-D, comme symbole de l’amour. C-à-D la seul chose qui compte, qui vaut la peine d’etre vécu (32à35)

Parallèlement à cette « montée en puissance » de Madeleine, l’évocation de Forestier se détériore sérieusement. Il devient de façon péjorative « ce mort », « ce garçon médiocre et pauvre », qui a eu de la chance de rencontrer, par opposition, « cette compagne intelligente et charmante ».

Madeleine devient alors aux yeux de Georges un être plein de mystères, ce qui, pour l’instant, développe encore plus sa curiosité et son désir(41à43)

Ainsi : Téroridé par la mort G-D broie des idées noir,vie éphémère,  sans issue que le néant. Mais G-D est un etre de desir  qui reste surtout un arriviste

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