Article traité Bombardier Met 2150

                                                                                                   6 Novembre 2018

                                                                                                            Met2100                                      

Bombardier coupe 2500 emplois au Québec et réfléchit sur les CRJ

        L'article choisi est une nouvelle d'actualité qui bouleverse la province depuis quelques semaines. L'entreprise québécoise Bombardier a récemment annoncé qu'elle coupera prochainement 2500  employés au Québec, 5000 mondialement. La  réduction  de la valeur du travail que Bombardier vise s'explique par le besoin de diminuer son coût de production et ainsi avoir des prix concurrentiels. Bombardier évolue dans un marché international très concurrentiel, d'où le besoin d'avoir un prix de vente bas, mais profitable.

L'entreprise prévoie une baisse de travail pour finaliser son projet d'aviation Global 7500. Le nombre d'employés nécessaires dans certains secteurs ne sera plus le même et sera donc revu à la baisse. Les coupures sont Inévitable dans les secteurs ou le nombre d'employer surpasse le travail disponible. L'entreprise tente ainsi de sécuriser son avenir, en évitant d'avoir trop d'employer pour le travail offert dans ces usines. Et pour ceux, il est nécessaire  de revoir l'organisation sociale de l'entreprise, de la restructurer, comme il est dit dans l'article. Dans le cas contraire, Bombardier se serait exposé  à  deux  conséquences assez lourdes. D'un part, comme cité un peu plus haut, le nombre d'employés touche  directement les couts de productions. De l'autre part, si on regarde la courbe de production marginale de l'entreprise, on comprend assez rapidement que plus il y a d'employer, plus l'entreprise est en mesure de produire un bien. Cependant, si le nombre d'employés atteint un nombre trop élevé pour le travail offert, la courbe de  production marginale tend à dégringoler. Le nombre d'items produits se met  à  chuter  puisque les employés deviennent moins productifs. Cette improductivité  affecte non seulement le travail de l'employé, mais aussi celle de ses collègues. Le travail en groupe peut être très positif, tout comme il peut être négatif. Bref, avec des employés moins productifs, le nombre produit offert diminue, le prix  augmente, et l'entreprise devient moins concurrentielle. On peut donc aussi parle de rendement par employe pour expliquer ces coupures.

On peut aussi analyser Bombardier selon le modèle PESTEL. On retrouve dans l'article quelques notions liées à ce modèle. Politiquement, les gouvernements fédéral et provincial auront aidé Bombardier. C'est 1G$ US que le gouvernement québécois aura donné à l'entreprise québécoise. Socialement, lors de l'annonce de l'aide 1 G$US la population était frustrée par cette aide, dites démesurer, aujourd'hui cette même entreprise renvoie 5000 employer dont la moitié dans la province qui la soutient financièrement. Économiquement, les mise à pied feront augmenter le taux de chômage, affectant l'économie provinciale et fédéral.

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