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Traitement de texte sous Word

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Par   •  2 Mars 2016  •  Cours  •  5 072 Mots (21 Pages)  •  839 Vues

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Informatique[pic 1]

> Traitement de texte sous Word

Lorsqu’on utilise un traitement de texte, c’est pour élaborer un document.

Il y a une différence entre sauvegarder et enregistrer. Sauvegarder veut dire changer de place pour retrouver le document en cas de panne.

1. Saisie initiale : si on tape un document particulier, tout bon logiciel fournit des modèle de document adapté (CV, étiquettes, lettres professionnelles…). Ce sont des modèles intégrés. On le choisi, l’adapte aux besoins (gain de temps). C’est seulement après que l’on peut passer à l’étape suivante.

Si on tape un document général de plusieurs pages (rapport de stage), On définit les paragraphes (bouton entrée). Le texte en question utilise aussi un modèle, il y a un modèle par défaut (modèle normal). Dans un modèle, on trouve des styles, un ensemble d’attributs de mise en forme (style normal).

Le style peut être le caractère, la taille du caractère, le surlignement, etc.

2. Correction : tout logiciel de traitement de texte fournit un outil de correction (soulignement). Word possède un dictionnaire répertoriant tous les mots qu’il connait (onglet révisions, commande grammaire et orthographe). Lorsqu’il y a une faute, on peut ignorer la faute, la corriger manuellement, choisir la correction proposée ou enregistrer le mot dans le dictionnaire.

3. Mise en forme : tout document Word utilise un modèle (le modèle normal : dotx). La mise en forme concerne le contenu du document, le texte. Le texte est structuré en paragraphe, portions de texte composé de mots, de caractères. Lorsque l’on s’intéresse son contenu, on utilise l’onglet accueil puis police. Si on ouvre la fenêtre, on peut voir 2 onglets (pour la position des caractères, l’alignement…).

Le paragraphe possède aussi une structure, un extérieur (retraits, alignement, justification, interlignes, espacements…).

Concernant le retrait (distance du texte par rapport aux marges), s’il s’agit uniquement de la première ligne, on parle de retrait de première ligne, on peut se servir de la règle. Sur la marge, on remarque des « petits triangles », se sont les retraits.

L’alignement horizontal d’un paragraphe peut se faire à gauche, au centre, à droite ou à la fois à gauche et à droite (justification).

Il y a aussi plusieurs types d’espacement : l’interligne, l’espacement entre, avant ou après les paragraphes.

Pour les enchainements, il y a une commande, évité « veuves et orphelines », il s’agit d’éviter que les phrases d’un même paragraphe soient isolées dans un autre paragraphe. On peut aussi choisir de mettre des paragraphes dans un une même page, on parle de « paragraphes solidaires » (dans maitriser les paragraphes). Le retrait de paragraphe s’appelle la bordure. On peut aussi numéroter les paragraphes, par ordre hiérarchique ou non.

La note de bas de page est un renvoi en bas de page (*). On le trouve dans l’onglet référence.

[pic 2]

La tabulation : elle permet de gérer le déplacement du curseur (par défaut, il est de 1.25)

> Mise en forme global : sous un document comme Word, il y a 2 types de fichier, les documents et les modèles de documents. Un document utilise toujours un modèle (modèle prédéfinis, intégrés). Dans un modèle, on retrouve des styles avec différents attributs. Parmi les styles, on en trouve aussi des prédéfinis (mais modifiables en style personnalisés). On peut créer plusieurs styles et enregistrer ces styles dans les modèles personnalisés.

Un style est donc un ensemble d’attribut de mise en forme d’un paragraphe. Dans un style, on peut stocker des attributs de caractères, des structurations de paragraphes, des caractéristiques de bordures et de trames, des numérotations. L’intérêt d’utiliser des styles est de pouvoir réutiliser ces styles plusieurs fois après les avoir créés une seule fois.

Pour travailler avec la notion de forme globale, il faut savoir hiérarchiser, élaborer un plan. On peut donc créer un sommaire, une table des matières.

> Mise en forme en 3 étapes :

Créer un modèle de document : élaborer la structure voulue pour le document.

Attacher le modèle au document : charger les styles crées dans l’étape précédente.

Mise en forme du document : appliquer les styles au document.

> La cryptographie

1/ Présentation

Vocabulaire

Cryptographie : ensemble des technique permettant de chiffrer des messages, c’est ç dire de les rendre incompréhensible sans une action spécifique.

Texte clair -> succession de chiffres -> calcul -> incompréhensible + déchiffrable par le destinataire.

Cryptogramme : le résultat de chiffrement, c’est-à-dire la transformation d’un message en clair en message incompréhensible.

Message en claire -> chiffrement (clé) -> cryptogramme -> déchiffrement -> massage

Décryptement : déchiffrement illégitime d’un message (pirate).

Cryptanalyse : décryptement sans connaissance de la clé de déchiffrement.

Cryptologie : science qui étudie les aspects scientifiques de toutes ces techniques, elle englobe la cryptographie et la cryptanalyse.

Fonctions de la cryptographie

Elle est utilisée traditionnellement pour dissimuler des messages aux yeux de certains utilisateurs. Cela permet de préserver la confidentialité des données. Mais aujourd'hui, la cryptographie sert non seulement à conserver cette confidentialité mais aussi à garantir l’intégrité de ses données, ainsi que leur authenticité.

4 fonctions :

  • Confidentialité : on rend l’information incompréhensible par des personnes en dehors des acteurs d’une transaction.
  • Intégrité : vérifier l’intégrité consiste à déterminer si les donnes n’ont pas été altérées durant la communication, de manière intentionnelle ou non.
  • Authentification : consiste à assurer l’identité d’un utilisateur, c’est-à-dire de garantir à chacun des correspondant d’une transaction que son partenaire est bien celui qu’il croit être
  • Non-répudiation : c’est la garantie qu’aucun des correspondants d’une transaction ne pourra nier cette transaction (accusé de réception).

2/ Evolution du chiffrement

Il y a 3 classes principales de chiffrement :

  • Classe symétrique
  • Classe asymétrique
  • Classe hybride

Classe symétrique

Dans un chiffrement de cette classe, on utilise la même clé pour chiffrer et pour déchiffrer. On parle alors de clé secrète ou clé privée.

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