Les maladies cardio-vasculaires
Fiche de lecture : Les maladies cardio-vasculaires. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar arnault29400 • 26 Septembre 2016 • Fiche de lecture • 1 404 Mots (6 Pages) • 1 206 Vues
Nono ou lola ?
Présentation
Les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde: il meurt chaque année plus de personnes en raison de maladies cardio-vasculaires que de toute autre cause.
Environ 17,3 millions le nombre de décès de par les maladies cardio-vasculaires, soit 30% de la mortalité mondiale totale.Parmi ces décès, on estime que 7,3 millions sont dus à une cardiopathie coronarienne et 6,2 millions à un AVC (statistiques de 2008).
Plus de 80% des décès interviennent dans des pays à revenu moyen ou faible et touchent presque également hommes et femmes.
D’ici 2030, près de 23,3 millions de personnes mourront d’une maladie cardio-vasculaire ( AVC principalement). ces maladies devraient rester les premières causes de décès.
Origine de la maladie
Le coeur qui prélève 10% de l'oxygène consommé par tout l'organisme, il a besoin d'un apport permanent de sang qui lui apporte oxygène et éléments énergétiques. Il est irrigué par deux artères disposées en couronne, les artères coronaires (ici appelé artères pulmonaires). Ces artères peuvent se charger de dépôts graisseux du qui progressivement conduisent à un rétrécissement la largueur de l'artère (sténose).Se qui provoque une insuffisance d'irrigation du coeur qui est à l'origine de la maladie coronarienne.
Nono
Les Facteurs
Diapo 1 :
Le rétrécissement des artères sont du a plusieurs facteurs qui se place en 2 catégories
-ceux sur lesquels on ne peut pas agir comme l'âge , le sexe , les antécédents familiaux ce que nous expliquera lola dans les prochains diapos
-ceux sur lesquels on peut agir pour les supprimer ou les diminuer comme le tabagisme , le diabète ou d'autres …
Diapo 2 :
Les principaux facteurs de risques des cardiopathies et des AVC, sont une mauvaise alimentation, un manque d’activité physique, le tabagisme et l'usage nocif de l’alcool. Ces facteurs de risque comportementaux sont responsables d'environ 80% des maladies coronariennes et cérébraux vasculaires.
Les effets d’une mauvaise alimentation et du manque d’activité physique = individus par une hypertension, une hyperglycémie, une élévation du taux de lipides, et le surpoids et l’obésité. Ces «facteurs de risque intermédiaires» sont le signe d’un risque accru d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral, de défaillance cardiaque et d’autres complications.
D'aprés des annalyses faite dans ces 15 dernieres années :cesser de fumer, réduire l’apport en sel dans son alimentation, consommer des fruits et des légumes, pratiquer une activité physique régulière et éviter l’usage nocif de l’alcool permettaient de réduire le risque de maladie cardio-vasculaire. Ce risque peut aussi être diminué en prévenant ou en traitant l’hypertension, le diabète et l’hyperlipidémie.
Lola
Prédispositions génétiques et dépistage.
On estime que les maladies cardiaques héréditaires touchent 200000 Français. 50 % de la prédisposition est héréditaire.
38 % de la population de plus de 35 ans ont dans leur entourage proche une personne à antécédent.
Les recherches sur les prédispositions génétiques sont primordiales pour comprendre les facteurs de risques mais ont aussi un intérêts clinique pour permettre la mise en place précoce de mesures préventives voire thérapeutique.
Mais la recherche dans ce domaine n'est mise en place que depuis 5 ans.
38 % de la population de plus de 35 ans ont dans leur entourage proche une personne à antécédent.
Les gènes déterminant chacun des aspects cardiovasculaire . Les recherches ont montré que ce sont des mutations présentent chez les parents qui peuvent se transmettre aux descendants, si elle est viable et se présente sur une cellule sexuelles. Ces mutations se situent sur les gènes codants pour les protéines de la coagulations, ce qui entraîne la formation de caillot.
Certaines pathologies comme la fibrillation auriculaire, la mutation se fait en intra-utérine. Le risque d'infarctus est multiplié par deux lorsque le parent à lui même souffert de cette maladie.
Comment les dépiste--t-on ? Une consultation chez le médecin généraliste est conseillée, avec un interrogatoire plus poussé.
Ensuite en cas de risques élevés, le patient doit effectuer une prise de sang avec un bilan lipide glycémie. Le contrôle du taux d'enzyme cardiaque : si il y a une augmentation cela témoigne de la mort des cellules cardiaques. Certaines maladies héréditaire se caractérisent par des anomalies morphologiques, d'autres demandent un électrocardiogramme pour être détecté.
Vincent
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