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Par   •  5 Mars 2020  •  Synthèse  •  996 Mots (4 Pages)  •  686 Vues

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De nos jours, les machines ont pris une place très importante dans le monde, car l’homme cherche à rendre sa vie plus facile. La machine fait donc son apparition sur les lieux de travail, et est de plus en plus présente. La machine doit-elle travailler à la place de l’homme ? Va-t-elle avoir des répercussions néfastes pour celui-ci ? Nous allons donc nous interroger sur la place qu’occupe les machines, nous verrons également quelles sont leurs limites. Ensuite nous verrons ce que les machines causent à l’Homme.

Tout d’abord pour déterminer la place des machines il faut commencer par définir ce qu’est une machine pour chaque auteur de ce corpus. Une machine est une chose concrète, perceptible par la vue et le toucher. Pour Karl Marx, Le capital, 1ere partie (1867), c’est l’outil, la machine capable de remplacer le travail de l’homme. Dans le texte d’Emile Zola, L’Assommoir, chap VI, les machines serrent, vissent des boulons et rivets. Dans le texte d’Yves Eudes, Les prodiges de Sophie, Le Monde (14 mars 2012), l’objet est Sophie, c’est un logiciel, une application capable de rendre tous les services, tous les savoirs. Dans le document de Plantu, Wolfgang, tu feras informatique ! (1988) La découverte/Le Monde, l’objet est l’invention, chaque invention de l’homme est un objet. Yves EUDES, décrit le logiciel Sophie comme une secrétaire infaillible travaillant 7 jours sur 7 et n’étant jamais malade. Quant à Emile Zola, il évoque un nouveau type de travailleur, il l’appelle le travailleur de fer, cette caractéristique est car elle exécute des tâches pour l’entreprise. Enfin, Plantu à travers sa bande dessinée illustre directement un robot à la place de l’homme dans sa dernière vignette. Chacune représente le travail a une certaine époque et elles sont classées chronologiques. Cet œuvre montre donc l’évolution du travail à travers le temps.

Les Hommes ont vu l’apparition de ces machines comme une invention merveilleuse car elles peuvent rendre leurs vies plus heureuse. Effectivement, on voit que plusieurs de ces auteurs s’interrogent là-dessus. On voit par exemple qu’Emile Zola dans son texte se demande si le fait que les machines remplacent les hommes ne servirai pas au bonheur de tous, il décrit les travailleurs fascinés de voir la capacité et la vitesse à laquelle ces machines travaillent. Yves Eudes rejoint cette théorie puisque pour lui, les machines détruiront des emplois pour en faire de nouveaux plus satisfaisant. Et pour Plantu, elle illustre le visage des Hommes pendant leurs heures de travail. On observe le personnage heureux par son sourire.

Cependant selon certains auteur les Hommes auraient vite déchantés.

Nous allons maintenant voir les limites des objets. Pour cela nous allons commencer par parler de la place de plus en plus importante des machines et objets qui vont remplacer l’homme. Nous pouvons voir qu’Emile Zola nous dit que les machines surpassent l’homme, ils ont un meilleur rendement et un plus faible cout, l’homme s’inquiète donc du fait que bientôt les machines remplaceront l’homme. Plantu, dans sa caricature fait aussi allusion à cette théorie, puisqu’il nous montre qu’au fur et à mesure la machine prend la place de l’homme et le remplace. Les avantages des machines sont nombreux notamment du point de vue financier.

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