Témoignage de ADA survivante des camps nazi

Ce témoignage est celui d’Ada, une des quatre survivantes des camps de nazi témoignant dans le documentaire, elle née en 1915 en Pologne, déportée au camp de Sobibor elle y est affectée pour le nettoyage d’une ferme appelé la « La puce joyeuse » où résidait les officiers allemands du camp. Le passage que j’ai choisi est celui où elle relate ses souvenirs autour des poupées des enfants juifs déportées que les officiers allemands ont pris et lui ont demandé de remettre en état.

Analyse :

Au début du passage, elle raconte comment sont arrivées les poupées jusqu’à elle, les poupées étaient arrachées des mains des enfants en sortant des wagons par les officiers allemands, qui aller ensuite eux être amenés dans les chambres à gaz, ou même récupérer sur des corps morts d’enfant lors des trajets.

 Ensuite ramené jusqu’aux travailleurs comme Ada pour enfaite être remis en état, les officiers allemands demandaient aux travailleurs de faire ça pour eux pour qu’ils puissent les ramenés chez eux lorsqu’ils seront en permission pour les offrir à leurs enfants. Elle décrit les poupées de toute sorte grandes, petites, toujours très jolies et bien habillé, parfois même neuve ou sales. Elles ont donc nettoyé et lavés les poupées pour ensuite les habillés et leurs coudres différents vêtements. Pour finir elle exprime la dureté pour les travailleuses et elle, d’imaginer ces enfants joués avec des poupées d’enfants juifs morts.

Le passage :

J’ai choisi ce passage du témoignage, a vrai dire c’est l’un de ceux qui m’a le plus marqué, le souvenir est assez clair a imaginé où comprendre le ressenti des travailleuses de devoir remettre en état des affaires d’enfants morts pour faire plaisir a d’autre.

Ce passage montre aussi très bien la déshumanisation en général parce que c’est un ordre mais toute en restant avec une partie d’humanité pour sa vie à soi et ses intérêts personnels tel que ses proches. Les officiers prennent à des enfants qu’ils vont emmener vers la mort ce qu’ils aiment, l’une des seuls choses qu’ils ont gardés et emmenés avec eux lors de leurs déportations pour enfaite faire plaisir a leurs enfants qu’ils aiment eux. Cela montre une sorte d’égoïsme pour sa paix personnel et ses proches tout en apportant l’horreur et la mort a d’autres familles pas si différentes de la sienne.

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