Monstres en littérature
Cours : Monstres en littérature. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Léa Califano • 31 Janvier 2022 • Cours • 826 Mots (4 Pages) • 415 Vues
Léa CALIFANO
Jalon 19
Dossier : RESUME DU TEXTE.
Question 1 : Précisez rapidement pour chaque œuvre, en quoi elle présente un monstre ? (En quoi, ou pourquoi, ce monstre est-il un monstre, qu’est-ce qui fait de lui un monstre…)
- Dans la première œuvre, extrait de Frankenstein ou le Prométhée moderne, 1831, on constate qu’il s’agit d’un monstre car tout d’abord l’auteur installe une ambiance d’épouvante ; « Il était déjà une heure du matin ; une pluie funèbre martelait les vitres et ma bougie était presque consumée, lorsqu’à la lueur de cette lumière à demi éteinte ». Puis il décrit la créature « Sa peau jaune couvrait à peine le tissu des muscles et des artères ; ses cheveux étaient d’un noir brillant, et abondants ; ses dents d’une blancheur de nacre ; mais ces merveilles ne produisaient qu’un contraste plus horrible avec les yeux transparents, qui semblaient presque de la même couleur que les orbites d’un blanc terne qui les encadraient, que son teint parcheminé et ses lèvres droites et noires. »
On comprend donc qu’il s’agit d’un monstre car la description est précise et nous permet de nous imaginer ce monstre. Sa peau n’a pas une couleur normale, ses muscles et ses artères sont apparents, ses yeux sont blancs. Le monstre est fabriqué de toute pièces et dépourvu de toute vie humaine.
- Dans la deuxième œuvre, extrait de Notre Dame de Paris, 1831, l’auteur décris encore une fois un personnage en utilisant des adjectifs péjoratifs, il utilise même l’adjectif « monstrueuse », on comprend donc que ce personnage n’est pas représenté comme quelqu’un de normal et que tout le monde le prend pour un monstre.
- Dans cet extrait de La Belle et la Bête, on comprend qu’il s’agit d’un monstre dans un premier temps grâce au titre subjectif, on sait déjà qu’il y a une « bête ». Ensuite dans l’extrait on voit la Bête apparaitre, il est couvert de fourrure, des crocs apparents, une voix rugueuse, son physique laisse suggérer ses traits animal. Il dit lui-même qu’il répugnant, laid et qu’il est un monstre.
- Sur la peinture de Le Caravage, le portait qui est représenté peut nous faire penser à un monstre tout d’abord par les couleurs utilisées qui sont assez sombre mise à par le visage au centre du tableau. Puis l’expression d’effroi que l’on peut lire sur son visage. Du sang coule de son cou comme si sa tête avait été coupée et ses cheveux on étaient remplacé par des serpent. Encore une fois le personnage représenté n’est pas humain.
- Dans cet extrait de Vingt mille lieues sous les mers de Jules Vergnes, l’équipage du Nautilus est confronté à un monstre, plus précisément « un calmar de dimensions colossales ». Il est décrit comme un monstre géant, avec huit membres, des yeux énormes et une bouche en bec de corne. L’auteur lui-même le qualifie de monstre. Malgré l’attaque que le monstre subit, ses membres sont sectionnés il continu de se battre et fini par emporté un membre de l’équipage avec lui.
- Dans cet extrait de Harry Potter et la chambre des secrets, le monstre qui est représenté est une araignée. Cet animal fait partie du thème de l’horreur. Les personnages ne sont pas rassurés, ils veulent partir. On peut qualifier cette araignée de monstre car ses proportions sont bien plus grandes que la réalité, elle est menaçante par sa voix et sa prestance.
- Sur ce tableau de Francisco de Goya, on voit un monstre dévorant un humain au premier plan. On constate qu’il s’agit d’un monstre de part sa taille et le fait qu’il est en train de manger un humain.
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Question 2 : Dressez pour chaque document un tableau à deux colonnes
Œuvre n°1 :
Observations | Interprétations |
Champ lexical de la noirceur | L’auteur cherche à nous imposer une ambiance pesante, horrifique |
Hyperbole « anxiété proche de l’agonie » | Le savant à peur |
Antiphrase « faire passer l’étincelle de la vie dans la créature inerte » | Le savant peut donner la vie à une chose inanimé |
« Depuis près de deux ans » « sans relâche » | Révèlent le travail acharné du savant |
« La beauté du rêve s’évanouissait » | Le savant Frankenstein est déçu de sa création |
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