DEVOIRS THEMES SOCIAUX
Étude de cas : DEVOIRS THEMES SOCIAUX. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar moumoune70 • 20 Avril 2021 • Étude de cas • 545 Mots (3 Pages) • 417 Vues
- Comme il a été stipulé dans le texte, les actes à caractères racistes et les opinions racistes obéissent tout deux à une logique différente.
En effet, les opinions racistes sont calculées grâce à une enquête annuelle réalisée par la CNCDH ; enquête fiable certes mais notons qu’on peut ne pas s’affirmer raciste devant un enquêteur et l’être finalement plus ou moins consciemment au quotidien.
Tandis que les actes racistes sont relevés grâce aux recensements des données du Service central du renseignement territorial. Ce qui me semble plus fiable vu que ce sont des faits et non uniquement la parole des individus sur une réponse à une question évoquant le racisme.
De plus le racisme est de plus en plus combattu par le gouvernement par l’augmentation des sanctions, la création de nouvelles lois etc. Le racisme peut alors ne pas avoir augmenté mais être plus sanctionné qu’auparavant ?
Ces différentes hypothèses pourraient selon moi, expliquer l’écart d’évolution entre les opinions et les actes racistes et ainsi la comprendre.
- Selon moi, notre perception des autres individus est fortement influencée par notre culture et les stéréotypes qu’elle véhicule. Nous formons souvent des jugements à propos de personnes et/ou de cultures que nous ne connaissons pas réellement. Ce phénomène s’appelle « des préjugés » ; ils nous sont inculqués dès notre enfance par notre entourage, notre éducation, notre culture et sont par conséquent, très difficiles à modifier voire à supprimer.
Être conscient que nous sommes tous porteurs de préjugés et chercher à les reconnaître
Rechercher des contres exemples à ses propres préjugés
Elargir sa façon de percevoir les choses pour pouvoir regarder au-delà de sa propre culture et apprendre à se mettre à la place de l’autre, sont des actions non réalisées par la plupart des individus et peut créer une « non-acceptation » de l’autre.
Des recherches scientifiques ont prouvé que le simple fait de catégoriser notre environnement en « nous » et « eux » c’est-à-dire différencier « mon groupe » et les « autres groupes » suffirait à produire des stéréotypes, des préjugés et de la discrimination. En effet, les individus ont naturellement tendance à favoriser leur propre groupe et à le juger plus positivement que les autres.
Nous appartenons à des sociétés qui ont leurs habitudes spécifiques, leur culture.
Chacun de nous se voit et voit les autres, à travers sa propre culture. Cela s’appelle l’ethnocentrisme. Il s’agit de la conviction profonde et indéracinable qu’il n’y a pas meilleure façon de faire que la nôtre. Nous en déduisons que la société à laquelle nous appartenons est « le modèle de référence ».
Par ailleurs, nous ne nous rendons même plus compte alors que certains comportements qui nous paraissent normaux car ils font partis de notre culture sont étranges voir inacceptables pour une autre communauté.
Ce qui heurte l’acceptation de l’autre est le fait que ce que nous trouvons normal est synonyme de bien et ce que nous trouvons étrange (c’est-à-dire choses que nous ne connaissons pas, qui proviennent très souvent d’une autre culture, d’autres personnes) devient le mal, ce qui nous poussent à refuser l’autre et provoquer des actes/opinions racistes.
De plus, l’autre que nous ne connaissons pas signifie l’inconnu et l’inconnu peut effrayer et donc ne peut pas être accepté.
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