Pse Etude De Cas Bac Tertiaire
Mémoires Gratuits : Pse Etude De Cas Bac Tertiaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 28 Décembre 2012 • 1 141 Mots (5 Pages) • 1 587 Vues
I. Récit d’accident
En hiver, Karine, 34 ans, se plaint de picotements, voit quelques fois trouble et ne supporte plus la lumière trop forte.
Cela l'oblige à forcer sur ses yeux pour mieux voir et le soir lorsqu'elle rentre chez elle, elle a mal à la tête et est très fatigué.
Son médecin lui a demandé d'aller voir un ophtalmologue pour qu'il lui fasse le test de schirmer (annexe1). Ce dernier lui a diagnostiqué un “syndrome sec” également appelé “syndrome de Gougerot Sjrogren” au deux yeux.Elle a aussi passé un test des glandes salivaires qui était positif pour ce même syndrome.
Cette maladie se manifeste par l'incapacité à produire assez de larmes pour assurer le confort de l'oeil et est souvent incommodante dans la majorité des cas, la sécheresse oculaire peut devenir très douloureuse et provoquer un véritable handicap.
L'ophtalmlogue lui a expliqué qu'il fallait immédiatement mettre en place un traitement avec des larmes artificielles et lui a aussi prescris un traitement qui repose sur des anti-inflammatoires (cortisone), du méthotrèxate et du palquenil.
II. Mon point de vue
Mon stage se déroulant en période hivernale, J’ai pu constater ces problèmes sur moi-même.
En effet, il y avait une grande baie vitrée mais la lumière circulait peu étant donné l’emplacement de l’entreprise qui était très proche de la montagne.
Aussi, le logiciel « Sage » utilisé était coloré d’un bleu froid, ce qui me donnait souvent mal à la tête et me tirait sur les yeux.
De plus, la lumière des néons était trop puissante. Le soir, je constatais que j’étais très fatigué et que mes yeux étaient secs.
La situation professionnelle analysée sera portée sur la fatigue visuelle liée au risque d’un éclairage trop fort et en particulier sur le cas de la sécheresse oculaire.
J’ai choisi d’analyser cette situation car il est important dans le métier de comptable de faire attention aux yeux et à la façon de les utiliser étant donné qu’ils sont constamment sollicités par l’ordinateur.
En effet, le travail sur ordinateur demande une attention soutenue et il a été remarqué que la fréquence du clignement des paupières diminue ce qui favorise l'évaporation des larmes et rend les yeux secs.
Les facteurs qui sont à l’origine du syndrome de l’œil sec sont : la climatisation qui assèche l'air ambiant, la présence de poussière de papier dans l'air, un écran placé trop haut par rapport aux yeux ainsi que la rareté du clignement des paupières et du rythme des pauses.
Il faut donc cligner volontairement des yeux plusieurs fois pour compléter leur clignement naturels insuffisants, faire en sorte que les écrans soit perpendiculaire aux fenêtres, que le mobilier soit réglable et utiliser un traitement anti-reflets sur les écrans d'ordinateur. Il est préférable d'améliorer la lumière artificielle pour éviter les éblouissements.
Effets possible sur l’organisme du salarié
Les personnes qui ont les yeux secs ressentent une gêne et elles ont l’impression d’avoir de la poussière dans les yeux ainsi qu'une sensation de grattement. L’œil sec peut rougir, il est en général fatigué et se révèle sensible aux changements de températures et d’humidité. Parfois, la vision devient floue, elle peut aussi faire perdre la vue.
Habituellement les larmes forment un film protecteur pour les yeux. (annexe2)
Il est donc normal que Le manque de larmes provoque un inconfort oculaire et risque d'abîmer la surface des yeux. Ce manque rend l’œil vulnérable aux infections. Il peut donner une kératite (inflammation de la cornée) et/ou une conjonctivite. Souvent, certaines glandes situées dans les paupières fonctionnent mal.
En l'absence de traitement, une sécheresse oculaire sévère peut faire perdre la vue. C'est le cas des carences graves en vitamine A ou peut entraîner une irritation
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