Ethique et économie.

Ethique et economie

Cette conception de l’économie servant de justification à la critique de l’interventionnisme qui génère des déséquilibres.

HAYEK considérera que le keynisien on fait de l’état et il dira : »non seulement le concept de justice sociale et non sens mais il est devenu le prétexte par excellence pour liquider les structures du monde libre.

Nous devons le combattre puisqu’il devient le prétexte à usé de la contrainte envers les autres hommes.

Concept strictement vide et dénué de sens il est un signe de l’immaturité de notre esprit.

« L’Egalite de chance est un idéal totalement illusoire et tout essaie de le faire passé dans les réalités risque de crées un cauchemar. Je souhaite faire en sorte que mes contemporains éprouvent désormais une honte insurmontable à se servir encore des termes justices sociales ».

On note le cœur de cette idéologie extrémiste qui va s’opposer à toute forme d’obligation dans un libertarisme absolue. Mais ce libertarisme sert parfois à s’accommoder de contrainte.

Une dictature peut être un système nécessaire pour une période transitoire.

Je préfère sacrifier la démocratie temporairement plutôt que la liberté.

Personnellement, je préfère un dictateur libéral à un gouvernement démocratique non libéral.

John ADAMS deuxième président des Etats Unis dira : «  il y a deux manières d’asservir et de conquérir une nation. L’une par les payes l’autre par la dette ».

Jacques SELEMMIN a dit : « on n’est pas seulement responsable de ce qu’on fait mais aussi de ce qu’on laisse faire.

En effet les banques sont de dépôt et de financement  c.-à-d la gestion des compte et la distribution des crédits or les banques d’affaires on des activités spéculatives comme dans les casinos dont la première démarche serait d’interdire au banque  aux  banques l’exercice simultanés de 2 activités.

1.Il faut démembrés les banques.

2. développer la culture de la prudence et pour cela il faudrait :

 -séparation des activités bancaires ;

-interdiction des produits et des activités spéculatifs à risque spéculé,

-taxer les bénéfices,

-socialisation des banques,  

-fusionner les banques de dépôt en un service bancaire universel.

Joseph STGLIST : « Nous avons créé une société où le matérialisme l’emporte sur l’engagement morale. Il y a plus beaucoup difficile a pardonner : la dépravation morale. A long terme une société ne peut pas fonctionner correctement si les gens n’assument pas la responsabilité des conséquences de leurs actes. Je n’ai fait que mon travail n’est pas une excuse. »

C’est pourquoi il nous faudra sortir du néo féodalisme voici ce qu’écrivait Condorcet  en 1795 : « Nos espérances sur l’état à venir de l’espèce humaine peuvent se réduire à ces trois points importants :

-La destruction d’inégalité entre les nations,

-les progrès de l’égalité dans un même peuple,

-enfin, le perfectionnement réel de l’homme. »

En 1961, le président EINSENHOVER demandait déjà d’adapter les institutions démocratiques : « nous devons veiller à empêcher le complexe militaro industrielle d’acquérir une influence injustifié dans les structures gouvernementales. Nous nous trouvons devant un risque réel qui se maintiendra à l’avenir qu’une concentration désastreuse de pouvoir en de mains dangereuse aille en s’affermissant. Nous devons veiller à ne jamais laisser le poids de cette association de pouvoir mettre en danger nos libertés ou nos procédures démocratiques. »

Le philosophe français Albert CAMUS lors de son discours de remise du prix Nobel le 10 décembre 1957 nous avait mis en garde : « Chaque génération sans doute se croit vouer à refaire le monde la mienne c’est pourtant  qu’elle ne refera pas. Mais sa tâche est peut être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. »

« Mais ce qui se rapporte à la vie humaine et de façon caractéristique très largement à la portée d’une personne se sentant concerné est prête se donner de la peine. »

Raison numérique/

Cette intelligence artificielle est vouer à modifier de part en part vos conditions d’existences par sa capacité à nous ôtées notre capacité de jugement  et pire celle de décision.

Par exemple Bill GATES a prédit que les automates d’ici 2035 remplaceront la majeure partie des métiers  jusqu’à la profession de la santé.

A ce propos Stephen HAWKING physicien, Franck WILCZEK prix Nobel de physique, S. RUSSEL Informaticien et Max TEGMARK physicien dans une tribune du journal the Independent du 1er mai 2014 ont soutenu conjointement que : « la réussite dans la création de l’intelligence artificielle serait le plus grand évènement dans l’histoire humaine…

Malheureusement, se pourrait être aussi le dernier, sauf si nous apprenons comment éviter les risques engendrés par cette création. »

Or vous avez un philosophe Hans JONAS qui vous a donner la clé pour vous prémunir contre cette menace : « toute futurologie sérieuse telle que l’exige l’objectif de la responsabilité devient une branche de la recherche qu’il convient de cultiver en soi et sans relâche ;

La vision de l’avenir au service de l’éthique du futur revêt une fonction intellectuelle et une fonction émotionnelle ; elle doit instruire l’a-raison et animé la volonté. Et le péril à éviter doit apparaitre, les froids qu’il nous inspire doit nous réveiller, la compréhension des causes qui s’est exercé à le déduire doit servir à le détourner. »

C’est donc en œuvrant à cet éthique du futur en développons votre esprit critique qui a été et sera votre bien le plus précieux que vous sauverez la condition humaine. Contre le régime numérique qui cherche à affaiblir ou marginaliser defender les droits de l’a-raison.

EN ROUTE VERS LA CATASTROPHE : La révolution numérique est entré dans ce qu’on appelle maintenant la disruption (c’est ce qui fait que la technologie se développe à une telle vitesse avec un tel pouvoir de transformation qu’elle détruit les cadres sociaux, c.-à-d. tous ce qui construit comme une structure sociale : la famille, le langage, le droit, l’éducation, la religion, … Pour bien prendre en mesure ce que signifie disruption, il faut prendre conscience que quand vous utiliser un Smartphone ou un portable pour interagir sur une interface  par exemple une plate forme comme celle d’amazone ou autre vous allez à une vitesse inimaginable. Le système avec lequel vous travailler dans des cas extrême peut aller 4 millions de fois plus vite que vous. C’est pourquoi elle est capable d’analyser en temps réel ce que des centaines de millions de gens font en même temps que vous et de vous apporter des réponses en intégrant tous ce que font les autres. Enfaite vous apportez des réponses qui vont vous tirez vers ces propres intérêts. En effet, ces algorithmes qui  sont fait pour servir ses intérêts de gestion, de stock ou autre ; c’est un processus totalement inédit dans l’histoire de l’être humain qui rendu possible par la technologie numérique. La technologie numérique est d’abord et avant tout une technologie de calcul. Ce sont des machines à calculer en effet, les ordinateurs portes la calculabilité à niveau d’efficacité absolument foudroyant. Et ces effets concrets sont innombrables. L’huberisation  est scandaleuse car nous sommes menacés par la stratégie automobile de Google, Google qui vient de mettre en service sa première voiture sans chauffeur.

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