Emploi du "on" indéfini
Rapport de stage : Emploi du "on" indéfini. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Futeck • 24 Juin 2019 • Rapport de stage • 1 146 Mots (5 Pages) • 542 Vues
1) Le champ lexical employé dans le 2§ est celui de la perturbation.
2) L’aspect du voyage s’avérant être le plus redoutable est le fait d’aller vers l’inconnu, l’aléatoire et l’aspect linguistique.
3) Ce sont des propos ironiques et qui établit une. Innée. Maternelle.
4) C’est un raisonnement par analogie entre son affirmation en tant que femme face aux hommes qui s’est acquise et son impuissance persistante face à l’inconnu. C’est un raisonnement par concession car elle admet d’abord la thèse adverse (« D’accord » le voyage est intéressant) pour ensuite développer sa thèse à elle (« Mais c’est, aussi, déstabilisant »)
5) Il y a une métaphore entre les habitants des pays étrangers et « Murs opaques. » « Êtres impénétrables », deux phrases nominales extrêmement brèves qui semblent dire qu’on n’a pas besoin d’expliquer la métaphore car suffisamment évidentes. Et une prise en otage ?
6) Elle emploie le « on » indéfini qui généralise le propos.
7) « bâillonné », « balbutie », « bégaie », « débile » montrent le bégaiement face à la langue étrangère.
8) Un ton polémique. La comparaison finale accentue le ton sarcastique de l’auteur et le caractère absurde de ce comportement*
9) L’art de persuader car elle en appelle aux sentiments, elle interpelle le lecteur en se fondant sur son expérience personnelle. Le texte mime son angoisse et la difficulté de l’étranger avec l’allitération en B. C’est un texte qui relève de son ressenti qu’elle développe.
1) Le champ lexical employé dans le 2§ est celui de la perturbation.
2) L’aspect du voyage s’avérant être le plus redoutable est le fait d’aller vers l’inconnu, l’aléatoire et l’aspect linguistique.
3) Ce sont des propos ironiques et qui établit une. Innée. Maternelle.
4) C’est un raisonnement par analogie entre son affirmation en tant que femme face aux hommes qui s’est acquise et son impuissance persistante face à l’inconnu. C’est un raisonnement par concession car elle admet d’abord la thèse adverse (« D’accord » le voyage est intéressant) pour ensuite développer sa thèse à elle (« Mais c’est, aussi, déstabilisant »)
5) Il y a une métaphore entre les habitants des pays étrangers et « Murs opaques. » « Êtres impénétrables », deux phrases nominales extrêmement brèves qui semblent dire qu’on n’a pas besoin d’expliquer la métaphore car suffisamment évidentes. Et une prise en otage ?
6) Elle emploie le « on » indéfini qui généralise le propos.
7) « bâillonné », « balbutie », « bégaie », « débile » montrent le bégaiement face à la langue étrangère.
8) Un ton polémique. La comparaison finale accentue le ton sarcastique de l’auteur et le caractère absurde de ce comportement*
9) L’art de persuader car elle en appelle aux sentiments, elle interpelle le lecteur en se fondant sur son expérience personnelle. Le texte mime son angoisse et la difficulté de l’étranger avec l’allitération en B. C’est un texte qui relève de son ressenti qu’elle développe.
1) Le champ lexical employé dans le 2§ est celui de la perturbation.
2) L’aspect du voyage s’avérant être le plus redoutable est le fait d’aller vers l’inconnu, l’aléatoire et l’aspect linguistique.
3) Ce sont des propos ironiques et qui établit une. Innée. Maternelle.
4) C’est un raisonnement par analogie entre son affirmation en tant que femme face aux hommes qui s’est acquise et son impuissance persistante face à l’inconnu. C’est un raisonnement par concession car elle admet d’abord la thèse adverse (« D’accord » le voyage est intéressant) pour ensuite développer sa thèse à elle (« Mais c’est, aussi, déstabilisant »)
5) Il y a une métaphore entre les habitants des pays étrangers et « Murs opaques. » « Êtres impénétrables », deux
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