Ecriture personnelle dans ma maison
Synthèse : Ecriture personnelle dans ma maison. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Corinne Acher • 22 Juin 2022 • Synthèse • 821 Mots (4 Pages) • 2 586 Vues
ACHER CORINNE BTS GPME 1
Pensez-vous que la maison puise toujours être un cocon protecteur ?
Pour vivre heureux, vivons cachés. Pensez-vous que la maison puisse toujours être un cocon protecteur ? Certes la maison est souvent perçue comme un cocon protecteur, cependant elle laisse parfois les dangers de l’extérieur entrer et parfois, c’est au sein même de la maison que le danger se cache. D’abord, j’expliquerai que la maison est un excellence espace protecteur puis je démontrerai que ce cocon peut se retrouver vite menacé.
La maison : un lieu qui répond à notre besoin de protection et de sécurité. De mon point de vue, la maison représente bien un sentiment de sécurité où les gens forment un foyer. Si on se réfère à la définition du dictionnaire Larousse, la maison c’est un bâtiment construit pour servir d’abri, c’est aussi le local où l’on habite. C’est notre lieu d’intimité, car cela représente qui nous sommes. Par exemple, François Vigouroux, Psychanalyste et romancier nous dit dans son essai l’Ame des maisons que « notre maison est notre seconde peau » elle représente qui nous sommes. De plus, je trouve que le foyer est un signe de convivialité et de partage. Notamment dans le film L’aberge espagnole, nous retrouvons des jeunes en vie de communauté fondée sur la convivialité et le partage qui révèlent qu’ils sont tous heureux.
Cela nous permet également de se protéger de l’extérieur contre les intempéries. Par exemple, d’après un reportage sur BFM TV, en Ardèche un incendie a été circonscrit dans un bac d’acide et un grand nuage de fumé c’est élevé : par conséquent, pour protéger les habitants, des mesures de confinement chez eux ont été prises pour les protégés d’un éventuel risque pour la santé. Je crois que c’est ce qu’il s’est également passé pour la pandémie du covid, nous avons du trouvé refuge chez nous durant la période de confinement. Pourtant, la vie en communauté n’est pas toujours signe d’une bonne entente.
La maison : ce lieu clos, à l’abri des regards peut devenir la scène de conflits de violence. En effet, pendant les périodes de confinement, les violences contre les femmes mais aussi les enfants n’ont cessé de croître. J’ai la conviction aussi que c’est un lieu clos dangereux. Nous devons en permanence se protéger à l’intérieure se ce foyer car c’est là où se trouve le premier danger. Notamment pour les accidents domestiques, c’est ce que nous rappelle l’émission La maison des maternelles avec un sondage en France par an, montre qu’il y a plus de 21256 décès, 11 millions d’accidents principalement à cause de noyade, asphyxiés, brûlure, chutes chez soi.
Intrusion dans la maison : un traumatisme. Dans notre société actuelle, à mes yeux il est possible de s’introduire chez les gens virtuellement en passant par internet, les réseaux sociaux. Je peux le démontrer avec par exemple une campagne de prévention qui avait été mis en place intitulé « Le masque ». Son slogan été : « Un pseudo peut cacher n’importe qui sois vigilant sur internet », car sans le savoir, nous laissons entrés n’importe qui chez nous. Mais il est toutefois possible d’être envahie par l’extérieur d’une autre façon. Par exemple, en Ukraine les bombes russes détruisent les maisons et les habitants se retrouvent sans abris.
...