Ce poème écrit par Antoine Vincent Arnault en 1834 évoque la liberté qu’a une feuille une fois détaché de son arbre, ici le chêne
Fiche : Ce poème écrit par Antoine Vincent Arnault en 1834 évoque la liberté qu’a une feuille une fois détaché de son arbre, ici le chêne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar marindu83 • 26 Avril 2016 • Fiche • 284 Mots (2 Pages) • 6 673 Vues
Ce poème écrit par Antoine Vincent Arnault en 1834 évoque la liberté qu’a une feuille une fois détaché de son arbre, ici le chêne. En lisant ce texte on peut ressentir cette liberté mais aussi l’inverse car l’automne est la saison qui marque la fin d’un cycle, cette saison signifie la mort. Sauf que la naissance ou la renaissance ne peut se concevoir en dehors de la mort. La vie, c’est la mort et vice versa. L’être humain a une perception égoïste de la mort? il ne pense qu’à lui-même ou à ses proches congénères. Le poème transcende évidemment cet aspect de la question car l’homme, étant faible par nature, donc égoïste, pense plutôt à sa propre perte. La mort sujet tabou, objet de tous les cultes, l’effraie. La mort est tragique, la vie est naissance! L’homme oublie que la mort s’oppose à la naissance et que les deux sont parties intégrantes de la Vie.
Le chemin de la feuille est décrit de manière paisible car la feuille se laisse aller:
« Je vais où le vent me mène
Sans me plaindre ou m’effrayer »
Ce poème décrit la fin de la vie d’une feuille car une foie décrocher de son arbre, il ne lui reste que peu de temps. La feuille séparé de sa famille, son arbre, va mourir en liberté porté par les événements météorologiques à travers le monde:
« De la forêt à la plaine
De la montagne au vallon ».
Pour décrire ce poème, j’ai choisi la tableau de Graham Gercken car il représente bien l’automne et montre sue l’automne n’est pas une saison si horrible. Ce mélange de pigments orange et rouges donnent un effet chaleureux au spectateur tout comme le poème.
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