LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Les différents types d’anesthésie

Cours : Les différents types d’anesthésie. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  30 Novembre 2024  •  Cours  •  394 Mots (2 Pages)  •  12 Vues

Page 1 sur 2

  Les différents types d’anesthésie :

  • Anesthésie générale
  • Anesthésie locorégionale

Pourquoi faire une anesthésie générale plutôt que locorégionale ?

Pour faciliter la chirurgie

  • En diminuant les réactions neurovégétatives à la douleur(analgésie).
  • En entrainant une perte de conscience réversible (narcose).
  • En assurant une amnésie perop.
  • Et éventuellement un relâchement musculaire (curarisation).

Analgésie :

Pour lutter contre la douleur on utilise des morphiniques puissants, le SUFENTANYL dès l’induction, pendant l’intervention (réinjections), puis on commence l’analgésie post opératoire vers la fin de l’intervention.

On utilise le PARACETAMOL, KETOPROFENE, TRAMADOL, NEFOPAM, MORPHINE.

Narcose :

Le sommeil est tellement profond qu’il entraîne une dépression des centres de la régulation de la respiration et donc l’APNEE

Il entraîne également une perte des réflexes de protection des voies aérienne (risque d’inhalation) et une hypotonie des muscles pharyngés avec risque d’obstruction des VAS (chute de langue).

PROPOFOL, ETOMIDATE, le maintien de la narcose se fait grâce aux gaz HALOGENES

Relâchement musculaire :

Par l’utilisation de curares (CELOCURINE, ATRACURIUM = TACRIUM)

Ils entraînent une paralysie des muscles respiratoires (diaphragme) INTUBATION

Il est important de de vérifier l’installation contre les risques de compressions vasculaire et nerveuses.

Conséquences d’une anesthésie général sur la surveillance en SSPI

Il existe 2 types d’AG

Pour une intervention de courte durée on maintient le patient en VS

Si la durée de l’intervention est plus longue, il est plus sécuritaire d’intuber le patient

Pourquoi ? Parfois on est obligé d’endormir d’avantage et le patient perd sa Ventilation spontané (VS) alors on le ventile mais le risque est d’amener de l’air dans l’estomac (inhalation +++)

En SSPI pour une AG non intubé :

On monitore

Score Respiration

Echelle de sédation :

S0 pas de sédation, patient éveillé

S1 patient somno, stimulable verbalement

S2 patient somno, stimulable tactilement.

S3 Patient non réveiller

Echelle de respiration :

R0 respiration FR> 10

R1 ronflement FR >10

R2 respi irrégulière, obstruction, tirage

R3 pauses respiratoire, apnées

En SSPI pour une AG extubée :

On monitore la SAT en premier et la FR pour évaluer la qualité de la respiration

Important de ne pas passer à coté de la surveillance clinique, ici la coloration, le soulèvement de la cage thoracique

Ensuite c’est comme l’AG non intubée.

En SSPI l’AG intubée

Si besoin remettre sur respirateur avec les mêmes paramètres que ceux de salle d’intervention

Si patient se réveille, se préparer à l’extuber

Critère d’extubation : Patient décurarisé (curamètre), en VS (bons vol, FR), capable de déglutir (protéger ses VAS), capable e répondre

En SSPI, on monitore le patient, on fera un score.

RESPIRATION /SEDATION pour évaluer l’élimination des médoc.

...

Télécharger au format  txt (3 Kb)   pdf (85.3 Kb)   docx (192.5 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com