Pestel Candia
Recherche de Documents : Pestel Candia. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar vikie74 • 22 Mars 2014 • 2 149 Mots (9 Pages) • 2 467 Vues
Créée en 1971, la marque Candia est petit à petit devenu le leader du marché du lait. Elle appartient au groupe Sodiaal, qui n'est autre qu'une coopérative laitière "française". Celle-ci regroupant des marques comme yoplait, entre-monts,... ayant la particularité d'appartenir et d'être "auto-gérer" par les producteurs de lait. En effet lors de décisions tant sur l'orientation politique de l'entreprise que sur des détails marketing toutes les exploitations laitière possède une voix (donc un certain pouvoir de décision), que celle-ci soit de petite ou de grande taille).
Ce leadership instauré par Candia n'est autre que le fruit d'une originalité et d'un avant-gardisme sur les autres marques de lait car en effet Candia a su marquer l'histoire du lait en sortant par exemple les bouteilles UHT ( briques permettant une plus longue conservation ), les laits dit infantiles, ... C'est une entreprise qui au yeux de tous est toujours à la recherche d'un nouveau produit, d'une nouvelle façon de "voir" le lait, clairement de nouveauté. Plusieurs dérivés ont été créés par cette marque afin d'élargir, d'enrichir et développer ses consommateurs : Viva, Grand lait, Candy'up, Biolait,...
Candia n'est pas seulement une firme nationale (française) celle-ci s'est développer depuis les années 1990 de façon efficace sur le marché international, aidant par la même occasion à développer un certain savoir technique auprès de pays où le développement des produits laitiers est en pleine expansion, que ce soit en Afrique, au Proche orient ou même en Inde.
En chiffre Candia représente plus de 1,5 milliard de litres de lait commercialisé soit plus de 1,25 milliard d'euro de chiffre d'affaire.
Environnement technologique :
opportunités menaces
- Les clés pour répondre aux nouveaux défis des industriels :
1) diversifier ses productions en les adaptant aux évolutions de consommation
2) innover en terme de produits / ingrédients, en valorisant au mieux les propriétés biologiques et techno-fonctionnelles des composants laitiers, pour répondre à moyen terme aux demandes de plus en plus lourdes, de connotation santé notamment
3) contrôler ses coûts de revient par la maîtrise des procédés existants et le développement de nouveaux concepts technologiques en alliant qualité des produits et minimisation des rejets.
- L’émergence des techniques à membranes a permis l’obtention, à partir du lait et de ses composants, de nouvelles fractions et nouveaux produits répondant à des besoins de nutrition ou de fonctionnalités spécifiques. Aujourd’hui encore, des innovations sont attendues concernant le fractionnement des protéines, des composés mineurs (facteurs de croissance) et des peptides bioactifs, avec des enjeux orientés plus que jamais vers la recherche de propriétés nutritionnelles et biologiques des fractions obtenues. De nouvelles applications émergent également avec la volonté de développer de nouvelles propriétés techno-fonctionnelles : fractionnement des globules gras, émulsification par membrane pour la création d’émulsions ou de mousses.
- Les principaux facteurs positifs pour l'innovation dans le secteur sont des perspectives de marché prévisibles, sans fluctuations majeures ni développements chaotiques, la nécessaire rentabilité de la production des agriculteurs et des activités de transformation des coopératives ainsi que l'interaction entre la demande de la société et les nouveaux débouchés pour le secteur laitier.
- Garantir la qualité sanitaire des produits et le faire savoir. - Selon une récente étude portant sur la compétitivité de l’industrie laitière européenne, on trouve, au top 5 des pays innovants : le Royaume-Uni (142 nouveaux produits développés en 2006-2007), suivi par la France (63), le Danemark, l’Allemagne et les Pays-Bas (respectivement 47, 45 et 43). Les innovations produits portent essentiellement sur les variétés (45,1 %), mais aussi sur l’intégration d’ingrédients fonctionnels (22,2 %) ou d’un nouveau packaging (15,1 %).
- Le secteur laitier européen doit faire face à des défis environnementaux importants.
La recherche n'est pas une fin en soi mais le point de départ du développement des produits. Pour les agriculteurs et les coopératives, rien ne servira d'investir si cela ne se traduit pas par des produits et des services commercialisables, disponibles pour les agriculteurs et les consommateurs à des prix raisonnables.
- Il existe cependant d’autres facteurs importants qui peuvent freiner l'innovation, tels que des ressources budgétaires européennes insuffisantes allouées à la recherche dans les domaines de l'agriculture et des denrées alimentaires, un faible degré de coordination entre la recherche privée et la recherche publique, responsable de la fragmentation actuelle ou encore une protection juridique insuffisante pour les innovations. Dans une économie de plus en plus mondialisée, la recherche ne peut être florissante que si les inventions sont protégées par des droits de propriété intellectuelle.
- L’émergence de produits de substitution (jus de fruits, ...)
D’un point de vue technologique, beaucoup d’opportunitées s’offrent aux secteurs laitiers.
En effet, les innovations sont constantes et permettent d’améliorer les propriétées techno-fonctionnelles du lait. Les perspectives de marchés sont prévisibles pour l’innovation. De plus le lait est un produit sein qui répond à des normes et reglementations de qualité sanitaire.
Les clés de la réussite réside selon «processalimentaire.com» en adaptant les produits à l’évolution de la demande des consommateurs, afin de répondre à des attentes différentes tout en valorisant les propriétés biologiques.
Cependant, la compétitivité dans l’industrie laitière Européenne est serrée, le pays le plus innovants est le Royaume-Uni suivit de près par la France et le Danemark, l’Allemagne et les Pays-Bas.
L’innovation est belle et bien présente, mais l’investissement ne sert à rien si les produits
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