Le corps des femmes dans la société moderne

Le corps des femmes.

Présentation de la perception, dans la société moderne, du corps des femmes à travers l’analyse et la synthèse de 3 documents.

Sommaire

I Analyse document 1 ………………………………………………………….. Page 4

II Analyse document 2…………………………………………………………..Page 5

III Analyse document 3…………………………………………………………Page 6

IV Synthèse globale ……………………………………………………………..Page 7

V Annexes …………………………………………………………………....Page 10

I. Analyse Document 1

Le premier document est un article posté par Libération qui est écrit par Camille Froidevaux-Metterie le 17 septembre 2020.

Ce texte aborde le problème de la définition de la femme par son corps, provoquée par des causes sociétales, sociales et éducationnelles.

Actuellement les débats se multiplient envers la façon dont les femmes sont habillées, comment elles devraient s’habiller et pourquoi. Seulement ces débats de proviennent pas d’une simple divergence d’opinion mais de problèmes sociales. ‘’ C’est la permanence […] d’une conception instrumentale du corps des femmes synonyme de dépossession ‘’ (cf rouge article 1 ). En d’autre termes le corps des femmes est continuellement régit par des normes et idées préconçus qui, de ce fait, provoque la désappropriation de leurs corps. Elles ne sont plus libres de s’habiller comme elles le souhaitent, contraintes par des normes vestimentaires et sociales, elles ne peuvent montrer que ce qui est socialement acceptable.

Cependant ces normes sociales sont paradoxales et trahissent un problème d’éducation et de société. Une femme avec un décolleté et une jupe courte ne sera pas dénigrée et sera appréciée lors d’un rendez-vous galant. Dans une situation autre, cette personne sera stigmatisée traité d’allumeuse et dans un cas d’agression ou d’harcèlement elle sera désignée comme mi-coupable voir coupable. Lorsqu’une femme porte un vêtement ‘’sexy’’ elle sera perpétuellement ramené à son simple corps. Une femme doit être attirante mais pas trop, à certains endroit et d’autres non.

De plus, refuser l’exposition de parties du corps qualifiées ‘’d’érotique’’ c’est admettre de façon immuable que les hommes sont incapables de maitriser leurs désirs. Un sous entendue encore plus dangereux lors de la jeunesse, durant le lycée par exemple. Tout comme la femme est définit par son corps, l’homme et défini par ses désirs. Refuser à une femme l’exposition de sa poitrine ou de son téton est une sexualisation de son corps.

En conclusion les mécanismes du contrôle sociale sur le corps de la gente féminine est encore d’actualité, entretenue par une société biaisé par une conception patriarcale du sujet. Il est nécessaire de briser les stéréotypes à travers l’éducation, parentale, scolaire et des changements de conceptions au sein de la société afin que la gente féminine puissent se réapproprier leur corps.

II. Analyse Document 2

Le deuxième article est posté sur le site Francenetinfos, écrit par Mat. C le 17 juillet 2019.

Dans les dernières années différents mouvements et revendication féministes se mettent en place et organisent des actions. Malgré cela l’image de la femme à travers les médias ne change pas. Majoritairement la femme est exhibée,’’objetisée’’ particulièrement dans les publicités. Mais également de nombreux domaines comme le rap, les salons automobiles, courses sportives et émissions télévisées. Rattaché à une image séductrice, provocatrice et vulgaire. Dont l’objectif est de vendre en touchant les hommes.

Cependant ce phénomène ne concerne pas que les hommes car les femmes sont aussi exposées cette représentation. Cela provoque de la jalousie, l’envie d’être ce désir universel et réduit les femmes à une simple beauté esthétique et physique. Image fortement entretenue par la pornographie. La gente féminine est liée et contraintes à des conceptions de la beauté .Cela peut se traduire par la hausse de la chirurgie esthétique, la vente perpétuelle de cosmétique.

De plus il est difficile de définir et de savoir qui entretient véritablement cette image, les médias multipliant les pubs provocatrices, les hommes entretenant cette idéale malsain ou les femmes participant volontairement ou involontairement à véhiculer cette idée par une acceptation inconsciente de cette image dégradante ? Induisant ainsi l’idée d’une responsabilité collective.

Afin de clore, la représentation de la femme dans les médias est celle de stéréotypes négatifs, d’exhibition constante de son anatomie et de l’insinuation de la beauté esthétique et parfaite. Colportant des problèmes d’estime en soit, et de fausses conceptions.

De plus c’est un phénomène entretenu par l’ensemble en continuant à créer ses représentations, en les véhiculant et en y participant.

III. Analyse document 3

Ce texte est un ouvrage d’Annie Hubert anthropologue, écrit en 2004.

A travers les âges, sociétés, communautés, et culture ce sont presque exclusivement les femmes qui sont obligées de se plier à des contraintes physiques, de par les us et coutumes. Elles sont forcées à transformer, déformer leur corps (bandage des pieds en chine, piercings dans les tribus, le corset en Angleterre...) Cela fait longtemps que les femmes subissent ses transformations et donc que leur corps

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