Forme scolaire
Dissertation : Forme scolaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar pol lop • 18 Novembre 2018 • Dissertation • 1 049 Mots (5 Pages) • 950 Vues
Études de cas et bibliographiques
La forme scolaire peut être considérée comme une manière d’enseigner, elle est présente de partout et nous concerne tous car elle a déjà été présente dans notre vie, mais dans certains cas elle s’en éloigne. Nous allons expliquer comment la forme scolaire est toujours présente mais qu’elle peut aussi s’en éloigner. Pour démontrer cela nous allons nous appuyer sur le texte de Stéphane Bonnery « Scénarisation des dispositifs pédagogiques et inégalités d’apprentissage » et sur le texte de Géraldine Bois « L’enseignement de la musique dans un contexte inhabituel : le cas d’un atelier musical pour parents et enfants de 0-3 ans ». Dans un premier temps nous allons montrer que les inégalités actuelles sont dus à la forme scolaire. Puis dans un second temps, nous allons montrer qu’on peut s’éloigner de la forme scolaire.
La forme scolaire se trouve principalement dans les écoles . Une des principales caractéristiques de la forme scolaire est l’autonomisation de la relation d’apprentissage. L’apprentissage devient une activité en soit. Elle se distingue notamment par un bâtiment distinct des autres où l’ont exerce des activités distincte des autres activités sociales qui est l’éducation.
C’est dans ces bâtiments qu’on peut voir que les dispositifs pédagogiques, construisent les inégalités scolaires dû à la forme scolaire. On peut distinguer deux formes d’inégalités scolaire : la fabrication active d’inégalités et la fabrication passive.
D’une part, il y a des inégalités d’apprentissages entre les élèves ayant des difficultés et les élèves ayant des facilités. La sollicitation des élèves ayant des facilités et des élèves ayant des difficultés ne sont pas la même lors de la première phase, c’est la fabrication active des inégalités. Les élèves en difficultés vont être interrogés sur des question qui ne demandent pas beaucoup de réflexion ou pour savoir où ils en sont dans leur travail. Bonnery dit : « Les élèves vus comme les plus fragiles sont particulièrement sollicités au début de la première phase, surtout pour les enrôler ou pour contrôler où ils en sont dans l’effectuation des tâches ». Alors que les élèves ayant des facilités, sont sollicités lorsqu’il faut conclure la première phase. Ils vont répondre aux questions qui demande une grande réflexion, on parle alors de « sauts cognitifs ». En effet, selon Bonnery, ces élèves qui permettre de conclure la première phase sont surtout sollicités quand il n’y a pas de volontaires pour répondre aux question délicates. Ces élèves jouent le rôles de « petits maîtres », et empêchent les « mauvais élèves » d’apprendre. Ils vont empêcher les « mauvais élèves » de faire se saut cognitif que les bons élèves font pour avoir le bon cheminement pour arriver à une conclusion.
Ceci est la fabrication active des inégalités d’apprentissage
Cette difficulté de faire se saut cognitif pour les mauvais élèves est dus au manque des « « prédispositions » construites en dehors de la sphère scolaire » comme le dit Bonnery.
En effet, ces « prédisposition » que devraient avoir tout les élèves, dont parle Bonnery, ne sont pas enseignés dans le dispositif. Cela pose problème car les enseignants vont énoncés les consignes d’un exercice de manière informel. Les « mauvais élèves » ne vont pas comprendre le but principale de l’exercice. En effet, les « prédisposition » que devraient avoir les élèves, doivent permettre de comprendre le but principal de l’exercice énoncé par l’enseignant. Ce manque de « prédispositions » empêche certains élèves, notamment les élèves dit « mauvais », de suivre un cheminement intellectuel qui va mener au but principal de l’exercice qui a été énoncé. On parle alors d’ici de fabrication passive d’apprentissage.
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