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Étude de cas d'un immigrant avec toutes les démarches migratoires

Analyse sectorielle : Étude de cas d'un immigrant avec toutes les démarches migratoires. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  2 Novembre 2022  •  Analyse sectorielle  •  1 916 Mots (8 Pages)  •  300 Vues

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Les deux participants ont réalisé le travail équitablement et en totalité

Louanna Rosset

Caroline Daigneault

Communautés culturelles et ethniques

Vignette clinique

Partie A

Éléonore est une jeune femme de 26 ans qui vient du sud de la France, plus précisément à Marseille. Cette dernière est une jeune artiste émergente, qui rêve d’exposer ses toiles dans les musées les plus réputés du monde. Elle souhaite suivre les pas de sa mère qui lui parle du Canada avec passion. Pour le travail, elle a séjourné à Montréal et a nourri le rêve d’Éléonore lorsqu’elle lui dressait le portrait de cette ville grandiose et artistique. La jeune femme souhaite faire une session en art à l’Université de Montréal, au printemps. Sa mère l’informe qu’elle a gardé contact avec une bonne amie de Montréal, ayant elle-même une jeune femme, pouvant possiblement l’héberger. Pour donner suite à l’encouragement de ses parents, elle débute ses démarches, afin de recueillir les documents nécessaires à l’obtention de son VISA d’étudiante internationale. Après quelques mois, l’étudiante recueille les éléments nécessaires pour pouvoir s’établir temporairement à Montréal (antécédents criminels, passeports à jour, preuve de vaccination, fonds de subsistance, permis de conduire international, assurances personnelles, etc.) Durant ces démarches, elle communique avec la famille canadienne et se réjouit de pouvoir habiter sous leur toit, sans frais. Sous la nervosité de l’excitation et de l’inconnu, elle se procure son aller simple vers la ville où sont nés de grands artistes. Pour Éléonore, l’arrivée aux frontières a été le moment le plus stressant, n’étant pas certaine de pouvoir réaliser son rêve canadien. À son arrivée à Pierre-Elliot-Trudeau, elle est en mesure de fournir tous les documents nécessaires, s’étant préalablement bien préparée. Éléonore franchit les douanes et retrouve la famille qui l’hébergera les prochains 6 mois. Sous la fébrilité de la nouveauté, elle est en émerveillement de voir toutes les diversités culturelles, l’art de rue et la chaleur des Québécois. En plus, les nouveaux espaces verts et la diversité faunique lui semblent être un véritable trésor québécois. Pour assurer son confort lors de son séjour, elle complète les démarches manquantes (carte d’assurance-maladie.) Lorsqu’elle obtient sa carte d’assurance-maladie, elle a trouvé rigolo que les gens d’ici l’appellent « la carte soleil ». Après son installation, elle passe ses premiers temps à sillonner les rues, en quête de plus beaux graffitis et passe de nombreux moments à observer les diverses galeries d’art, dans les rues de Montréal. Elle débute l’école peu de temps après et remarque de nombreuses différences entre le système scolaire français et québécois. Elle se réjouit d’avoir des professeurs qui la soutiennent et l’accompagnent dans ses études. Cependant, elle a de la difficulté à s’intégrer avec ses camarades de classe, car elle trouve que ceux-ci s’expriment avec vulgarité et elle ne comprend pas toujours la prononciation de certains. De plus, un individu lui a demandé de répéter un mot qu’il trouvait bien rigolo et riait avec un groupe d’amis. Éléonore a senti qu’on se marrait d’elle et s’est réfugiée à la salle de bain, pour reprendre ses esprits. À la suite de cet incident, Éléonore était très sélective des mots qu’elle utilisait et à qui elle parlait. En effet, elle n’osait plus s’exprimer en grand groupe, par peur d’être ridiculisée de nouveau. Un jour, elle mangeait à la cafétéria lorsqu’un groupe l’aborde pour revenir sur un échange qu’il y a eu en classe. Un garçon lui demande comment elle a fait pour payer son repas si elle ne travaille pas, laissant sous-entendre que sa famille doit être riche et que c’est la seule façon qu’elle a pu se permettre de venir ici. Il lui dit : « Vous les Français, vous vous sentez supérieur avec votre accent et on le sait tout que vous êtes pleins de argent. » Plus la session avance, plus la jeune femme ressent la fatigue mentale d’être constamment en train d’apprendre de nouveaux éléments sur la culture québécoise et s’adapter à sa terre d’accueil. Éléonore vit beaucoup de frustration lorsqu’elle magasine dans des boutiques qui l’accueillent en anglais. Celle-ci avait choisi cet endroit puisqu’elle partageait la même langue. Après quelques mois, l’adaptation se fait bien. Plus le temps avance, et plus elle se plaît au mode de vie québécois. Effectivement, elle a adopté le style vestimentaire de Montréal, elle comprend plus aisément ses camarades et a même adopté quelques expressions québécoises. Un soir, avec un petit groupe d’amie qui l’a tout de suite acceptée à son arrivée, elle est sortie au bar « le shaker », un endroit emblématique chez les jeunes d’aujourd’hui. Cela dit, elle envisage même poursuivre les démarches pour acquérir son statut permanent et ensuite avoir la citoyenneté canadienne. Sous cette optique, Éléonore entame les démarches pour afficher ses toiles dans une galerie qui affiche de jeunes artistes émergents. À la suite de cet échange, la directrice lui annonce qu’elle accepte uniquement les toiles venant d’artiste québécois. Celle-ci n’a point daigné regarder son portfolio, l’informant qu’il y a plusieurs galeries en France qui serait heureuse de regarder son matériel.  

Partie B

Type d’immigration : La personne fait une demande pour séjourner au Canada de façon temporaire, afin d’y étudier. « La jeune femme souhaite faire une session en art à l’Université de Montréal, au printemps. »

Processus prémigratoire : la personne fait son VISA temporaire canadien, elle l’obtient par l’ambassade, prouve avoir suffisamment d’argent pour 3 mois, donne une preuve d’antécédent judiciaire, preuve de COVID, détermine si son permis de conduire est valide au Québec et trouve endroit pour se loger « l’obtention de son VISA d’étudiante internationale. Après quelques mois, l’étudiante recueille les éléments nécessaires pour pouvoir s’établir temporairement à Montréal (antécédents criminels, passeports à jour, preuve de vaccination, fonds de subsistance, permis de conduire international, assurances personnelles, etc.) » « Durant ces démarches, elle communique avec la famille canadienne et se réjouit de pouvoir habiter sous leur toit, sans frais. »

Processus postmigratoire : La personne fait faire sa carte d’assurance maladie et débute ses cours à l’école. « Lorsqu’elle obtient sa carte d’assurance-maladie, elle a trouvé rigolo que les gens d’ici l’appellent “la carte soleil”. » « Elle débute l’école peu de temps après et remarque de nombreuses différences entre le système scolaire français et québécois. »

Processus d’intégration : La personne s’installe chez son amie, va visiter son quartier et son école et fait faire sa carte d’assurance-maladie. « Éléonore franchit les douanes et retrouve la famille qui l’hébergera les prochains 6 mois. » « Après son installation, elle passe ses premiers temps à sillonner les rues, en quête de plus beaux graffitis et passe de nombreux moments à observer les diverses galeries d’art, dans les rues de Montréal. »

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