Les médias dans notre société
Étude de cas : Les médias dans notre société. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marine Flambard • 1 Mars 2017 • Étude de cas • 1 171 Mots (5 Pages) • 3 307 Vues
FLAMBARD Marine STS 2
Culture – générale |
Synthèse de documents :
De nos jours, les médias ont une place importante dans notre société. Le corpus qui nous est proposé contient trois textes de Pierre Bourdieu, Georges Perec et Serge Joncour ainsi qu’une affiche de la Campagne de la Fondation Abbé Pierre qui ont pour sujet pour les trois l’extraordinaire dans les médias.
On est amené à se poser la question suivante : « Peut on dire que les médias exagèrent la réalité des faits afin de crée des événements extraordinaire et ainsi attirer l’intention du public ? »
Nous verrons dans un premier temps de quelle manière les médias exagèrent la réalité des faits puis nous verrons dans une seconde partie comment les médias utilisent l’extraordinaire afin d’attirer l’intention.
Les médias diffusent sans arrêt et quotidiennement des images de fait, en multipliant les supports. Images téléviser, journaux, affiches… Pierre Bourdieu en parle dans son essai Sur la télévision de 1996.
En effet, il trouve que les images télévisées exagèrent la réalité. Mais les mots aussi ont leur importance, ils donnent sens pour commenter les images. Et si ont porte attention au choix des mots on remarque que se ne sont pas des mots couramment employé qui sont utilisés mais des mots que l’on pourrait qualifier « d’extraordinaire ».
De même, Georges Perec dans L’infra ordinaire paru en 1989 pense également que les médias cherchent à montrer le pire de chaque événement. D’ailleurs, il argument avec beaucoup d’exemple.
L’affiche de la campagne de l’Abbé Pierre, elle essaye de convaincre les passants à faire des dons en montrant une fois de plus le « pire ». Cette affiche tente de choqué.
Aussi, dans l’extrait de roman L’idole paru en 2004 de Serge Joncour le narrateur explique que lors de son passage téléviser le présentateur en « rajoute » pour faire croire au public que le parcours de Georges Frangin est quelque chose d’extra ordinaire. On remarque une fois de plus que les mots utilisés ne sont pas couramment utilisé, on revient à ce que nous expliquait Georges Perec.
L’animateur de l’émission dramatise l’histoire pour créer le buzz. Encore une fois l’auteur argumente avec de nombreux exemple en reprenant les paroles de l’animateur.
On peut donc dire que dans cette première partie on remarque l’importance de l’extraordinaire pour les médias et on analyse l’utilisation de cet extraordinaire.
On remarque également dans les 4 documents que le but véritable des médias est de capter l’intention des gens et pour arriver à ces fins ils utilisent l’extra ordinaire.
L’affiche de L’abbé Pierre, ont été affiché dans les abris bus afin que les passants se rendent mieux compte de l’espace que cela représente. Ce qui est extraordinaire c’est le fait que l’affiche parle directement au passant. Ils se sentent concernés et le commentaire appui cette sensations.
Dans l’essai de George Perec on retrouve cette notion d’extraordinaire dans le but de quelque chose, ici les scandales servent à cacher le pire mais aussi le danger. Il nous donne en exemple le travail dans les mines en nous expliquant que ce n’est pas le grisou qui est dangereux pour les miniers c’est le travail dans les mines qu’il l’est.
Pierre Bourdieu rejoint cet argument dans son essai, il nous explique que si les médias essayaient de montrer la réalité des faits ordinaires ils auraient beaucoup de mal. Ici aussi, il prend l’exemple de la vie en banlieue.
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