FEMEN

III) Les conséquences légales et sociales du rejet des Femen

1. Les conséquences légales des manifestations des Femen

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Le groupe féministe Femen d’origine ukrainien, est devenu internationalement connu essentiellement par les seins nus des militantes. Ces femmes sont des féministes radicales appelé  le ¨sextrémisme¨: un nouveau type d´activisme féminin qui est agressive mais pourtant pas violent, étant provocateur et spectaculaire qui délibère un message clair propre a ses idéologies.

Selon plusieurs pays, les actions menées par ces militantes féministes, sont légalement contestées, surtout par ses manifestations seins nus. Par conséquence à cet acte, les FEMEN sont jugées exhibitionnistes sexuels.

Document 1 : 

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Article du journal Le Monde qui annonce l’evenement dans lequel trois membres des FEMEN, on été condamnées à quatre mois de prison ferme en Tunisie.

Dans cet article ont peut constater les conséquences légales face aux manifestations seins nus menées par les militantes féministes. Le 12 juin 2013 à Tunisie, trois militantes européennes membres de FEMEN (une Allemande et deux françaises)  ont été condamnées à quatre mois de prison ferme dans le but de leur faire raisonner et faire attente à leur bonnes moeurs et a la pudeur.

L’action de ces militantes pouvait certes être jugée choquante et mal perçu en Tunisie, mais elle relevait de la liberté d’expression et donc la prison de devait pas être nécessairement impliquée. FEMEN après l’emprisonnement d’unes de ses membres, considéré cela une atteinte grave à la liberté d’expression, se qui causera surement la multiplication et l’élargissement de leurs actions.

        En France, selon l’article 222-32 du Code pénal, « l'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public ». Si quelqu’un viole cette loi, la punition consiste en  un an d’emprisonnement et 1500 euros d’amende.

Document 2: 

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Article du journal Le Monde qui annonce une déclaration fait par la leader FEMEN lors d’une accusation d’exhibitioniste.

Cet article est une déclaration faite par Inna Shevchenko, activiste et leader du mouvement des femmes FEMEN, dirigé a Madame la ministre Christine Taubira.

Ses paroles insistent sur l’accusation des manifestantes féministes et pacifiques d’être des “exhibitionnistes sexuelles”.

Dans ce cas, elle fait référence à la FEMEN condamnée le 15 octobre 2014 a cause de sa nudité politique. Cette femme lui tombe la punition à cause d’avoir violer l’article 222-32 du code pénal.

L’activiste Inna dénonce la misogynie face à cette accusation et demande donc, au nom de l’égalité homme-femme, sur la constitution antérieurement mentionnée soit plus claire et précise dans celle ci “exhibition sexuelle”.

B) Le rejet de la religion dans toutes ces formes  

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Le groupe féministe FEMEN remettent en cause la place de la religion dans la société. Elles considèrent que l’Eglise propage les idées et valeurs misogynes.

La misogynie est un caractère qui se manifeste par un sentiment de mépris ou d’hostilité à légard des femmes. Il se traduit aussi comme « sexisme ».

Une des leaders du mouvement Inna Shevchenko, insiste sur le respect envers toutes les religions qui existent. Toutefois, il ne sera pas toléré que la religion prenne des décisions qui sont en dehors de son domaine comme l’interdiction et jugement des couples et mariages homosexuels, des avortements, entre autres.

Selon FEMEN : “ Le féminisme et la religion ne sont pas deux choses qui peuvent coexister”. C’est a dire que les valeurs qui transmette la religion (dans ce cas, chretienne) sont totalement diferents a ceux des FEMENS. Par conséquence on parle d’un mouvment féministe antichrétien dont il s’affirme par ses actions qui sont en contre des symboles, personnalités ou organisations chrétiennes.

Document 1 : 

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Photographie prise par une journaliste lors d’une manifestation en contre le mariage gay suivi d’un affrontement entre les Civitas et membres de FEMEN

Dans cet article, pour illustrer leur antichristianisme, il se révèle la manifestation qui a eu lieu à Paris le 18 novembre 2012. C’était une proteste organisée par l’institut Civitas qui était en contre le mariage pour tous (homosexuel) et plus largement l’”homophobie”. La manifestation compter avec  environ de 9.000 catholiques pour défiler contre le projet de loi sur le mariage pour tous.  

À cet événement, neuf jeunes militantes ukrainiennes de groupe féministe FEMEN ce sont présentés au milieu du cortège déguisées en nonnes en criant “In Gay We Trust”  en appuyant sur des petits extincteurs peints et décorés avec des mots tels que “Holly Sperm” et “Jesus Sperm”  en révélant des slogans comme “Fuck God”, “Marie marions-nous” ou “Occupe-toi de ton cul” sur leurs torse nu.

Cependant, leur arrivée n’a pas été bien reçu et donc les choses se sont renversés et devenus marquants par les incidents violents qui ont eu lieu. Selon les jeunes femmes et journalistes présents, “elles ont été prises a parti et pourchasser par le service d’ordre de Civitas et par certains manifestants”. Le mouvement catholique affirme après cela dans un communiqué, qu’aucun membre de son organisation “ne s’est rendu coupable de la moindre violence envers ces FEMEN”.

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