Famille Monoparentale
Dissertation : Famille Monoparentale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar flo_94 • 4 Mars 2014 • 1 829 Mots (8 Pages) • 1 537 Vues
Table des matières
1 Introduction 2
2 Développement 3
3 Entrevue 7
4 Synthèse 8
5 Conclusion 10
6 Annexe
Annexe I - Tableaux 11
Annexe II - Entrevue 15
7 Bibliographie 16
Introduction
Pour ce travail synthèse en sociologie de la famille, nous avons fait une recherche sur un sujet qui touche notre environnement familial quotidien. Nous avons choisi de parler à propos de la famille postmoderne de type monoparentale, qui est un sujet d’actualité au 21e siècle. Pour représenter le sujet, nous avons décidé d’analyser la famille de Florence Cournoyer, dont les parents se sont divorcés. La mère, Johanne Godin, possède la garde des enfants, d’où la monoparentalité. Pour approfondir sur ce sujet, nous allons décrire le contexte social postmoderne dans lequel baignent les familles d’aujourd’hui au Québec et nous allons faire une brève description sur les membres de la famille au sens large. Par la suite, nous allons faire une entrevue avec le sujet principale, Madame Godin, pour lui poser des questions afin de recueillir des informations pertinentes pour notre recherche. De plus, nous allons faire une synthèse, qui est une réflexion critique sur le sujet et faire des liens pertinents avec le métier d’infirmière. Pour finir, nous allons conclure avec un résumé du travail.
Développement
Depuis quelques années, on a pu remarquer au Québec qu’il y a eu de nombreux changements concernant le type de famille, où elle est passée de moderne a postmoderne. Une des plus grosses caractéristiques de la postmodernité est l’individualisme. Nous allons décrire le contexte social postmoderne dans lequel les familles québécoises se retrouvent. Au Québec, nous avons constaté que la migration augmente de plus en plus en raison des crises humanitaires comme; les guerres, les désastres naturels et la pauvreté. Depuis 1961, au Québec comme dans des pays occidentaux, on a pu remarquer l’augmentation du nombre de personnes qui vivent en dehors du contexte familiale, donc c’est une augmentation des ménages non familiaux. On a aussi observé une augmentation du nombre de célibataires ainsi que d’une baisse des tailles des familles. Ces trois facteurs expliquent clairement le phénomène de l’individualisme de notre époque. Nous pouvons le prouver à l’aide de quelques tableaux qui se trouvent dans l’annexe I. Au Québec comme partout ailleurs en Occident, le nombre de mariages a diminué radicalement. Cette diminution est liée en partie à la baisse progressive de la fécondation, qui a débuté il y a 100 ans, et surtout au choix des jeunes couples qui optent pour l’union libre (ou union de fait). Cette affirmation est particulièrement vraie au Québec, où la proportion de couple vivant en union libre est la plus élevée au Canada (35% contre 18% pour la moyenne canadienne). Les Québécois de moins de 25 ans formant un couple vivent en union libre dans une proportion de 80%. En 2007, 22 156 mariages ont eu lieu au Québec. Depuis 1968, le mariage civil devient plus populaire que les autres mariages. On a pu constater plus de la moitié des mariages civils contiennent au moins un des conjoints divorcés. Depuis mars 2004, les mariages comportent les conjoints de même sexe. En juin 2002, le gouvernement du Québec rend accessible un nouvel acte contractuel : l’union civil. Cette union a surtout été créée pour les conjoints de même sexe qui n’ont pas accès au mariage civil et aux couples qui refuse le mariage. Voir les tableaux dans l’annexe I. De plus, depuis 1980 on peut constater une augmentation fulgurante de l’union libre (union de fait). Si autre fois se type d’union était considéré comme marginale, aujourd’hui il est des plus accepté et des plus adopté par les jeunes couples adultes et les nouveaux couples de gens divorcé. Au Québec 80% des premières unions sont libre. Par la suite, les naissances hors mariage ont nettement augmenté depuis quelque année passant de 8.2% en 1970 à 38.1% en 1990, puis 59% en 2002 et 62% en 2007. Cette hausse s’explique par le fait que d’avoir un enfant n’est plus une raison pour contracter un mariage ou de légaliser une union
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