Les points négatifs du tourisme en Grèce
Commentaires Composés : Les points négatifs du tourisme en Grèce. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar honey14 • 26 Mai 2013 • 690 Mots (3 Pages) • 818 Vues
Points négatifs
Le manque de documentation sur place a été un gros point négatif pour me permettre de
rédiger ce mémoire, le manque d’ouvrages récents sur la politique ou le tourisme.
Le problème du manque de chiffres : pas d’observatoire touristique pour avoir des chiffres
réguliers, pertinents et fiables pour appuyer mes hypothèses. Seul le site du Ministère
Tourisme et Artisanat fournit des chiffres, il a été constamment en maintenance.
Ne pas m’être fixée sur deux ou trois missions, pour me concentrer sur quelque chose de
concret et voir une réelle avancée.
Ne pas se substituer aux acteurs en cas d’inaction au risque d’entacher le positionnement de
TSF ou de l’IRCOD, d’où la nécessité de bien comprendre son positionnement et son champ
d’intervention.48
Mon stage a été très prenant, je n’ai pas compté mes heures (comme souvent dans le secteur
touristique). De plus, j’ai souhaité découvrir la région Boeny pendant mes jours de repos, pour
découvrir les sites touristiques dont nous faisions la promotion, et ne pas avoir visité
seulement Mahajanga. Il a été difficile de conjuguer stage, apprentissage de la langue (30 H),
découvertes touristiques et rédaction du rapport de stage. J’ai dû mettre des priorités et
m’imposer une organisation « quasi militaire » pour concevoir cette rédaction dans le temps
imparti.
Point positif :
Les savoir être acquis : « Les points forts de votre caractère ainsi que votre comportement en
groupe forment votre savoir-être ».
J’ai avant tout compris que l’appui et le suivi au développement repose sur quelque chose de
fondamental : l’écoute et le partage de compétences. Les rencontres avec les locaux furent très
enrichissantes : ils m’ont exposé leur mode de vie, leurs contraintes et incertitudes quant à
l’avenir parfois, et m’ont fait partager un peu de leur existence ainsi que de leur travail à
Mahajanga. J’ai découvert la langue et la culture malgache qui est riche en leçon de solidarité,
de cultes et d’espoir en l’avenir.
D’autre part, travailler au sein de l’IRCOD, et découvrir la coopération décentralisée a été
très formateur : il est vrai que la réflexion et les interrogations trouvent plus rapidement des
réponses grâce à l’échange d’idées et d’opinions avec ses collègues ou avec ses
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