LE TRANSPORT DE DEMAIN
Étude de cas : LE TRANSPORT DE DEMAIN. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Julie Bégué • 6 Juin 2017 • Étude de cas • 702 Mots (3 Pages) • 564 Vues
LE TRANSPORT DE DEMAIN
Je travaille dans une entreprise de transport routier. Il m’est demandé de faire une synthèse sur le transport de demain. Tout d’abord le transport est un secteur économique important, il représente environ 1 000 milliards d’euro et 10% du produit intérieur brut de l’Union Européenne, et plus de 10 millions de personnes travaillent dans ce secteur d’activité. Malheureusement, malgré les avantages qu’apporte le transport routier il est également responsable du changement climatique. Pour cela, le transport de demain cherche a s’inscrire dans des politiques de développement durable.
En effet le développement durable ne comprend pas seulement l’aspect environnemental, il rassemble plusieurs dimensions (sociale, économique et de gouvernance).
Dans un premiers temps je parlerais des effets néfastes du transport par rapport au développement durable, puis dans un second temps j’aborderai les outils politiques mis en place a tous les niveaux et pour finir les changements émergeant de ce domaine d’activité.
Nous assistons tout d’abord à un effet de « grippage » et de « congestion », ce qui résulte d’une augmentation de la pollution atmosphérique lié au trajet souvent bien trop cour et effectué avec des moteur bien trop froid. Ajoutant à cela, les nuisance sonores et les accidents. Le nombre de voiture augmentant chaque année de plus en plus (estimé a plus d’un milliard), génère alors l’augmentation de consommation de carburant qui lui a son tour augmente le gaz carbonique qui celui ci est le principal gaz à effet de serres. On relève que le transport urbain engendre 40% émission de gaz carbonique.
Les personnes les plus fragiles sont les premiers touchés, leur qualité de vie étant alors fortement diminuer a défaut que les maladies respiratoires et cardiovasculaires s’accentuent. A ce jour, on estime une augmentation du transport routier de 17% et 12% pour ce qui est du transport aérien.
Deux canadiens ont alors décidés d’inventer un indicateur : l’empreinte écologique, indicateur permettant de mesurer l’impact de l’activité humaine sur terre.
Tous ces effets néfastes ont alors fait réagir les politiques qui ont décidés d’amorcer un tournant en rééquilibrant durablement le partage entre mode de transport et ainsi développer l’inter modalité, en combattant la congestion et en intégrant qualité et sécurité et enfin rationaliser le transport urbain qui dépend de la compétence nationale. En 2005, l’Union Européenne et la France disposent de plusieurs indicateur (IBED, PIB vert, IPV, etc.), ils sont alors tous regroupés dans un tableau de bord.
L’Europe exécute alors en 2005 le protocole de KYOTO décide en 1997, le droit a polluer est alors traduit est commercialisé comme des quotas de CO2. Celui ci ayant pour but de convaincre les sociétés a investir dans des énergies renouvelable plutôt que d’acheter a perte ces quotas. Les premiers quotas ayant fait l’œuvre de dons le système c’est achevé face a la crise économique (de 2008 ??). Face a cet échec l’Etat lance alors la Loi Grenelle 1 ( 3 aout 2009), une stratégie nationale de développement durable et de biodiversité. L’état fait alors également appel aux collectivités territoriales, a des représentants des milieux
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