Oradour Sur Glane

ORADOUR SUR GLANE

Le centre de la mémoire et les ruines du village martyr

Le site d’Oradour sur Glane est un site qui à conserver les ruines du village d’Oradour qui a été détruit par les SS pendant la seconde guerre mondiale. A côté des ruines un nouveau village d’Oradour à été reconstruit. Ce site est unique et authentique.

1/ Les circonstances du drame :

Le massacre a eu lieu le 10 Juin 1944. Il a eu lieu à la fin de la guerre quand la division SS cantonnée dans le sud-ouest de la France se déplace vers le nord à cause du débarquement en Normandie.

2/ Les victimes :

Il y a eu 642 victimes dont 444 femmes et enfants. Dès leur arrivée vers 14h15, les SS vont chercher les gens dans leur maison et les rassemblent sur la place du champ de foire. Les hommes sont menés du côté gauche de la place puis dans les cours des maisons où ils sont fusillés. Les femmes et les enfants sont placés du côté droit de la place puis évacué vers l’église où ils furent brûlés. Puis les SS procèdent systématiquement à l’élimination des cadavres par le feu et par la fosse commune pour empêcher leur identification. Il y a eu 6 rescapés, 5 hommes et 1 femme. Les habitations elles furent brûlées.

3/ Les auteurs du massacre :

Les auteurs du massacre sont les hommes de la division SS ‹‹ Das Reich ››. Ils ont choisi Oradour car cette ville était facile à encercler, qu’elle était sur leur route et qu’elle était tranquille. Les habitants n’étaient pas méfiant ils n’ont pas connu la guerre à proprement parler.

4/ Le procès :

Janvier 1953 ont lieu les procès de Bordeaux où 21 soldats sont accusés pour crime de guerre dont 14 soldats alsaciens enroulés de forces, «les malgré-nous ». En Février un premier verdict tombe, peine de mort et prison. Mais les condamnations ne seront pas appliquées à cause de l’amnistie signée le 20 février. Cette décision sèmera le trouble et l’émotion chez les familles des victimes car ils se sentent abandonnés par la Justice de la France.

En conclusion ce site est très enrichissant de connaissances, être vraiment là où tous ces gens sont morts voir les impacts de balles, les panneaux avec écrit « lieux de supplice », on se rend compte de ce qu’ils ont vécu, on se met à leur place. Cette visite a été très intéressante mais aussi avec beaucoup d’émotions et d’horreur devant ces ruines.

« Les déportés, les massacrés n’ont plus que nous pour penser

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