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Les accidents de la route

Commentaire de texte : Les accidents de la route. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Mars 2016  •  Commentaire de texte  •  531 Mots (3 Pages)  •  1 061 Vues

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Les accidents de la route

Introduction

Quelle solution a-t-on ou pourrait-on apporter pour diminuer le nombre d’accident de la route en France ?

Sur les routes de France, on  recense de moins en moins de personne tuer ou blesser grâce aux moyens mis à disposition par le Gouvernement :

Si l’on commençait en 1970 …

Penser vous qu’en 1970 les routiers, durant leur pause déjeunée se permettaient de prendre l’apéritif, du vin et un digestif pour clôturer le repas, pour reprendre la route ensuite. Sachant que le taux délictuel était limité à 1.2 gr/l.

Aujourd’hui pourrions-nous faire cela ?

Et bien essayer de passer au travers des gendarmes, des radars pour ensuite vous faire arrêter pour conduite en état d’ivresse, vous faire conduire en cellule de dégrisement et vous faire retirer votre permis, quel désastre !

En 1973-1974 on n’a pas trouvé mieux que de limiter le nombre de kilomètres heures sur les routes à 90 km/h, les voies rapides à 110 km/h et les autoroutes à 130 km/h. Sans oublier la ceinture de sécurité qui est devenue obligatoire.

Il faut dire aussi,  avant cette période que les automobilistes n’était pas  limités sur les routes sauf sur les autoroutes à 120 km/h.

Cette décision  à perturber  bon nombre d’automobilistes, habitués à rouler librement et sans se soucier du danger.

En 1983 le taux délictuel a encore diminué et est passé à 0.8 gr/l.

En 1986, les routiers ont du revoir leur façon de déjeuner, car c’est boire ou conduire et non les deux (retrait de permis).

En 1990 on réduit encore la vitesse mais cette fois-ci à 50 km/h en ville, les automobilistes s’en plaignent  mais c’est un bien pour tous.

Malgré la réduction de vitesse les contrôles sont encore omniprésents en plus de la limitation de vitesse.

En 1995 les automobilistes ont encore de quoi se plaindre, le taux délictuel est rabaisser à 0.5 gr/l.

En 2003, l’état étant en manque de fonds n’a pas trouvé mieux que d’instaurer la mise en place des radars automatiques. Ainsi bon nombre d’accidents on été évidemment éviter, et des amendes on été amplifié au bonheur du gouvernement.

En 2012 c’est la mise en place des radars tronçons, techniquement, le radar tronçon est composé de deux caméras infrarouges distantes de plusieurs kilomètres (2 à 5 km actuellement) qui lisent les plaques d’immatriculation, reliées par GPRS à un ordinateur qui calcule alors la vitesse moyenne, celle-ci devant rester inférieure à la vitesse maximum autorisée. Une nouvelle façon pour eux de nous dépouiller.

 En 2013-2014, un « radar mobile de nouvelle génération » a fait son apparition, c’est un appareil embarqué à bord d'une voiture banalisée, conduite par des gendarmes ou des policiers en uniforme.

Le 1er Février 2015, 180 voitures banalisé ont vu le jour. *

*Comme-ci on n’en avait pas eu assez.

Conclusion

Il aura fallut quarante cinq ans au réseau routier de France pour améliorer les conditions de conduite des usagers, sachant que la plus part des victimes sont des jeunes de 15 ans à 29 ans.

Si chacun respectait le code de la route nous aurions beaucoup moins de morts, ou supprimons définitivement les voitures, cela aura un double impact :

...

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