Fait D'actualité: le corps retrouvé de Laetitia

LAETICIA : LE CORPS RETROUVE

L’histoire horrible de Laetitia se termine enfin. Le reste de son corps a été retrouvé samedi dernier dans l’étang de Port-Saint-Père entre Nantes et Pornic. La jeune fille de 18 ans avait été tué et son corps découpé en plusieurs partie le 18 janvier. Le 1er janvier, on avait retrouvé que la tête et les 4 membres emballé dans un grillage au fond d’une pièce d’eau à Lavau-sur-Loire. Son meurtrier avait toujours refusé de révéler où se trouvait le corps de Laetitia et ne veut toujours pas racontait le scénario de son crime.

C’est une promeneuse qui a découvert le corps dans l’étang de Briord au milieu de l’après-midi de samedi. Elle a aperçu une forme suspecte flottant sur la rive. Le meurtrier avait lesté le tronc de la jeune fille avec un parpaing avant de le jeter à l’eau. Ce secteur faisait partie du périmètre des recherches pour retrouver le corps de Laetitia mais il n’avait pas encore été exploré. Les gendarmes faisaient les recherches du coté de la rive droite de la Loire alors que Port-Sain-Père se trouve sur la rive gauche. Il est probable que la chaleur des derniers jours ait fait remonter le corps à la surface.

Une autopsie a eu lieu dimanche matin à l’institut médico-légal de Nantes. Le corps était bien celui de Laetitia Perrais. Ça n’apporte pas encore d’éléments supplémentaires sur les causes du décès mais des analyses seront faites dans les jours et semaines à venir. Il reste également le casque que la jeune fille portait au moment de son accident à scooter.

Après les analyses, le corps sera remis à la famille. Le père de la famille d’accueil de la jeune fille dit dans l’ouest-France « L’attente était usante. Nous allons enfin pouvoir envisager l’inhumation.

A la suite d'une tentative de suicide, Tony Meilhon a une nouvelle fois été placé il y a une dizaine de jours dans une unité pour malades difficiles (UMD) à l'hôpital psychiatrique spécialisé de Plouguernevel (Côtes d'Armor).

Cette affaire avait provoqué une crise sans précédent entre le pouvoir et la justice. Le président Nicolas Sarkozy avait en effet évoqué le 3 février des "dysfonctionnements graves" des services de police et de justice, à l'origine, selon lui de la remise en liberté, plusieurs mois avant le drame, de Tony Meilhon.

A la suite de ces déclarations, les magistrats de Nantes avaient décidé la suspension des audiences, suivis quelques jours plus tard par leurs homologues de nombreuses juridictions.

Le 17 février, le ministre de la Justice avait mis fin aux fonctions du Directeur interrégional de l'administration pénitentiaire de Rennes, suscitant une fronde de ses collègues.

Ainsi on peut se demander si cette affaire ne va pas faire évoluer les juridictions en ce qui concerne les récidivistes.

Ouest-France La depech.fr

Japon : la gravité de la situation révélée au niveau 7

Les autorités japonaises ont revu à la hausse la gravité de l’accident nucléaire de la centrale de Fukushima Daiichi. Elle est passée du degré 5 au degré 7 sur l’échelle internationale des évènements nucléaires et radiologique (INES). Elle atteint le même niveau maximum que la catastrophe Tchernobyl en 1986.

Les raisons de cette hausse ont été identifiées par des vérifications sur le niveau des fuites d’iode 131 et de césium 137, libéré dans l’atmosphère depuis le 11 mars dernier. Ces niveaux de fuites sont égaux à ceux du niveau 7. Ils ont attendu de publier ces nouvelles car la NISA attendait des précisions sur cette pollution avant d’annoncer officiellement la hausse de la gravité de la crise japonaise avec un rejet des matières radioactives et des effets indésirables sur la santé et l’environnement.

Cependant, malgré cette crise nucléaire, le gouvernement japonais relativise cette annonce en disant que cet évènement ne ressemble pas à celui de Tchernobyl, n’est pas aussi grave. Pour cela, ils ont déclaré que les émissions radioactives mesurées dans la centrale Fukushima ne représentaient que 10% de celles émises par Tchernobyl. « C’est totalement différent

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