Fiche de lecture de sociologie

Que le meilleur gagne !

André Comte-Sponville

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Fiche de lecture

Sociologie

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Table des matières

INTRODUCTION        3

André Comte-Sponville        3

Biographie        3

Ses principaux ouvrages        3

Bibliographie        4

Biographie        4

Ses principaux ouvrages        4

« Que le meilleur gagne ! »        5

Présentation de l’œuvre        5

Résumé de l’œuvre        5

« Introduction »        5

« Le sport et la vie »        5

« Le but et la fin (skopos et télos) »        6

« Une éthique aristocratique »        6

« Les valeurs du sport »        6

« Le football, d’autant plus populaire qu’il est imparfait »        6

« De la solidarité à la politique »        7

Analyse        8

La définition du sport        8

Pourquoi philosopher sur le sport        8

Le sort est-il indispensable ?        8

Le rôle du sport dans l’égalité        9

Une sensation d’échec        10

INTRODUCTION

André Comte-Sponville

Biographie

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André Comte-Sponville est un philosophe Français né le 12 mars 1952 à Paris. Il est rentré à l’École normale Supérieure (l'une des institutions universitaires et de recherche les plus prestigieuses et les plus sélectives de France), il a passé l’agrégation et a soutenu une thèse de doctorat intitulée « Éléments pour une sagesse matérialiste ». Avant de se consacrer uniquement à l’écriture, il a enseigné en lycée puis est devenu maître de conférences à l’université Panthéon-Sorbonne. Il a collaboré dans de nombreux journaux comme L’Événement du jeudi, L’Express ou Psychologies et a souvent participé à des émissions de télévision. Il est aussi membre de Comité consultatif national d’éthique depuis 2008.

Il tire ses inspirations des textes de pascal, Épicure, de Montaigne, de Spinoza et de Marcel Conche. Il se définit comme matérialiste, rationaliste et humaniste.

Dans ses différentes œuvres il essaye de démocratiser la philosophie pour la rendre accessible à tous.

Ses principaux ouvrages

Dans ses différentes œuvres il nous permet de réfléchir sur des sujets tels que l’amour, la liberté, la politique, la morale ou la mort.

• 2020 : Dictionnaire amoureux de Montaigne, Éditions Plon
• 2012 : Le Sexe ni la mort (Trois essais sur l'amour et la sexualité), Albin Michel
• 2010 : Le goût de vivre, Albin Michel
• 2006 : L'Esprit de l'athéisme, Albin-Michel
• 2006 : La plus belle histoire du bonheur, Seuil
• 2004 : Le capitalisme est-il moral ? Albin Michel
• 2003 : Le Bonheur, désespérément, Pleins
• 2001 : Dictionnaire philosophique, PUF
• 2000 : Pensées sur la sagesse, Albin Michel
• 1999 : La Sagesse des modernes (avec Luc Ferry), Robert Laffont
• 1995 : Petit Traité des grandes vertus, PUF Prix La Bruyère de l'Académie française
• 1992 : L'Amour la solitude, Albin Michel
• 1984 : Traité du désespoir et de la béatitude, PUF

Bibliographie

Biographie

« André Comte-Sponville : podcasts et actualités ». Radio France. https://www.radiofrance.fr/personnes/andre-comte-sponville (2 décembre 2022).

« Courte biographie de André Comte-Sponville ». https://www.toupie.org/Biographies/Comte-sponville.htm (2 décembre 2022).

Ses principaux ouvrages

« André Comte-Sponville ». 2022. Wikipédia.  (2 décembre 2022).

« André Comte-Sponville : podcasts et actualités ». Radio France. https://www.radiofrance.fr/personnes/andre-comte-sponville (2 décembre 2022).

« Que le meilleur gagne ! »

Présentation de l’œuvre

Que le meilleur gagne a été publié en 2021 sous forme d’interview, ce livre est une réflexion sur la place du sport dans nos sociétés. Le philosophe André comte-Sponville tente de donner une définition du sport ainsi que ses vices et ses vertus sur la population contemporaine. Il critique le sport de compétition et décrit ses effets nocifs tout en reconnaissant les valeurs qu’il peut représenter.

Résumé de l’œuvre

Ce livre est composé de 7 chapitres, nous allons en synthétiser les principales idées de chacun d’entre eux.

« Introduction »

Dans cette première partie l’auteur essaye de nous donner sa propre définition du sport. Le sport est une activité physique touchant plus le corps que l’esprit, soit plus l’action que la réflexion. Pour autant, toute action physique (marcher, passer le ballet…) n’est pas un sport mais plus un labeur. Comme Aristote le disait, « le sport est une praxis (activité en vue d’un résultat) et non une poiésis (le fait de penser son activité en suivant un programme près déterminé avec un objectif unique). Elle ne tend à aucune fin extérieure mais plutôt à son plaisir personnel, sa propre réussite, soit la définition d’un jeu. Or, un jeu (ex : la marelle) ne peut être considéré comme un sport. Tout effort ne peut être considéré comme du sport. Pour être socialement reconnu comme tel ; un exercice physique doit obligatoirement faire l’objet de compétition. L’auteur donne ainsi sa définition : le sport est une activité physique qui tend au maintien, à l’augmentation ou à l’évaluation des capacités même qui le rendent possible. C’est une activité qui tend vers elle-même et non vers une utilité.

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