Ethique Et Développement durable
Rapports de Stage : Ethique Et Développement durable. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 28 Janvier 2013 • 3 856 Mots (16 Pages) • 1 146 Vues
Question 1 : D’après vos connaissances propres et le contenu du cours, que pensez vous des objectifs affichés dans ce rapport ?
« Dans la vie, il y a deux catégories d'individus : ceux qui regardent le monde tel qu'il est et se demandent pourquoi. Ceux qui imaginent le monde tel qu'il devrait être et se disent : pourquoi pas ? »
Dès la fin des années 60, la prise de conscience des problèmes écologiques causés par les activités humaines a émergée sur la scène publique, malheureusement à ce jour, la notion de développement durable ne reste qu’une idée pour la plupart des gens et elle n’est pas mise en pratique au quotidien. Comme c’est annoncé dans le rapport « le moment est venu de passer à l’action » !
Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Pour être durable, le développement doit donc concilier trois éléments majeurs : l’équité social, la préservation de l’environnement et l’efficacité économique (cf. schémas)
Pour parvenir à mettre en place des solutions efficace, le Groupe préconise de ne plus penser « locale » mais « globale », pour cela, les solutions se portent sur différents niveaux : les institutions internationales ; le gouvernement ; les entreprises et enfin la société elle même.
Notre politique actuelle doit changer et nous devons prendre un compte la multitude des facteurs qui ont un impact sur notre planète, en effet, « la population mondiale passera de 7 milliards à 9 milliards d’ici à 2040 » entrainant avec elle une augmentation des besoins, des ressources mais également une augmentation de la pauvreté, des inégalités et de la pénuries de certaines énergies.
C’est dans l’optique de parvenir à déplacer le développement durable au centre du débat économique et politique mondial que le Groupe a fait une série de recommandations pratiques pour promouvoir un idéal d’une planète viable, d’une société juste et d’une économie en expansion.
En se basant sur ces trois aspects (social, environnement et économique) nous allons vous donner notre opinion sur les différents objectifs de ce rapport.
Tout d’abord en ce qui concerne la vision sociale de ce rapport, le Groupe insiste sur la promotion de l’égalité des sexes et sur l’importance de l’émancipation des femmes. En effet, mettre en place une parité homme/femme dans les entreprises, faire entrer les femmes dans la vie politique, économique et leurs donner accès à de hauts postes pourrait garantir la prochaine poussée de la croissance mondiale.
Selon nous il est indéniable que depuis plusieurs années les femmes prennent de plus en plus de pouvoir et s’imposent dans le monde du travail. Il est donc impératif que les gouvernements prennent conscience du rôle que les femmes peuvent jouer en accélérant la mise en place d’engagement qui vont dans le sens de l’égalité des sexes par la mise en place de lois discriminatoires par exemple.
L’équité est également une priorité dans les objectifs du rapport. Il est indispensable de soutenir les pays et population en développement, or nous savons que notre action collective nous entraine au pied des mur et à des conséquences irréversibles sur les écosystèmes et les populations. Mais il ne faut pas mettre en place des normes qui s’appliquent à tous au risque de stopper certains pays dans leur croissance et empêcher ces derniers à sortir leurs populations de la pauvreté. «Nous risquons de condamner plus de 3 milliards de personnes à vivre dans le dénuement de façon endémique », ce constat nous montre que le modèle actuel du développement durable n’est plus viable. Il faut agir sur cette pauvreté à tout point de vue : au niveau économique, au niveau de l’éducation mais aussi de la santé en donnant accès aux populations à l’eau potable, la nourriture, aux soins médicaux et à l’hygiène, à l’éducation et à l’emploi.
Concernant l’éducation notamment, le rapport insiste en rappelant l’objectif 2 du Millénaire pour le développement. Il est en réalité question de renforcer les fonds qui sont alloués à l’enseignement primaire universelle, car, à l’image du Groupe, il nous semble indispensable que chaque enfant puisse bénéficier de l’apprentissage de l’école.
Dans cette idée d’éducation, les gouvernements devraient également intégrer des filières dédiées au développement durable et à la formation vers l’emploi vert dans leurs programmes. Nous pensons qu’intégrer le plus tôt possible aux jeunes la notion du développement durable est une très bonne idée, l’avenir du monde est plus sereine car c’est de cette manière que nous allons réellement pouvoir sensibiliser tout le monde à l’avenir de la planète et aux changements qui doivent avoir lieux tout en leur donnant de « bonnes habitudes »
Toujours dans cette optique, nous trouvons également important que les gouvernements favorisent l’insertion des jeunes sur le marché du travail, notamment par la mise en plus de métiers et formations tournés dans les secteurs de l’emploi vert.
Le but de ce rapport est de rapporter le développement durable au centre du débat économique. Au niveau économique donc, il est clair que l’ensemble des objectifs et des mesures que le Groupe souhaite mettre en place nécessitent un apport et soutien financier. Au terme de la lecture du rapport, nous avons réalisé que l’apport du secteur public ne sera pas suffisant à subvenir aux besoins des mesures énoncés par le Groupe, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est régulièrement question d’intégrer les entreprises ou encore les marchés boursier pour participer au financement du programme.
Pour ce faire, le Groupe évoque également de nouvelles mesures incitant les ménages et capitaux privés à investir, mais malheureusement sans nous donner les outils et actions à mettre en place pour y parvenir…
En effet, malgré le fait que ce rapport soit très complet et nous établisse une liste détaillé des objectifs à atteindre, nous avons trouvés trop peu de solutions pour parvenir à réaliser les 56 recommandations du Groupe.
Enfin, d’un point de vue écologique il est nécessaire de venir en aide au pays émergents pour qu’ils puissent aussi avoir accès aux énergies vertes mais aussi aux moyens
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