Management Des Risques Organisationnelles
Mémoires Gratuits : Management Des Risques Organisationnelles. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hajaritax • 18 Décembre 2012 • 2 062 Mots (9 Pages) • 958 Vues
C- APPROCHE RECOMMANDÉE POUR LA PRÉPARATION D’UN PROFIL DE RISQUE ORGANISATIONNEL
Chaque analyse de risque présente les principaux points à prendre en considération pour l’élaboration et la présentation du contenu d’un profil de risque. Certains éléments sont désignés « essentiels », alors que d’autres sont « recommandés ». Les sections « essentielles » sont considérées comme des éléments indispensables d’un profil de risque de qualité puisqu’elles fournissent clarté et contexte. Les sections « recommandées », sans être jugées indispensables, peuvent ajouter à la pertinence globale du profil de risque.
Le Centre d’excellence en gestion du risque convient qu’il est possible qu’une organisation décide de regrouper de l’information essentielle en fonction du format et de la structure de son profil de risque. La portée de l’analyse présentée dans le profil de risque devrait toujours être adaptée à la taille de l’organisation et à la complexité de son mandat.
3-Typologie des risques opérationnels
Fraude interne :
Présente une perte des actes visant à frauder détourner les biens ou a tourner la politique de l’entreprise impliquant au moins une partie interne cette catégorie porte deux niveaux le premier c’est l’activité non autorisés par exemple : les transactions non autorisés et l’évaluation erroné d’une position ; le deuxième niveau est le vol et la fraude comme détournement des biens et de fond ; évasion fiscale et absence de provision.
Fraude externe :
Il s’agit des pertes dues à des actions visant à frauder, à détourner des biens ou à contourner la législation d’une part externe de l’entité. Il faut caractériser d’une part la fraude et le vol et d’autre part la sécurité des systèmes.
4- la mesure de management des risques.
Nous nous concentrons sur une méthode autonome appliquées au mesure de risque sur la décision de contrôle ou adaptons avec précisément les méthodes avancés du comité de Bâle
La première étape pour manager et organiser le risque est donc consiste à classer une cartographie des risques. Cette dernières doit se poser sur une analyse des démarches métiers (le découpage se fait non pas en fonction de l'organisation de la banque mais en fonction des services et produits offerts par l'établissement) en fonction d'une typologie normalisé des risques opérationnels (fraude, problèmes sociaux, etc.).
Cette analyse des mécanismes métiers doit laisser aux opérationnels concernés. Une fois la cartographie effectuée, il est important de mettre en place un acte basée l incidents dans laquelle on événements de perte doit mesuré de leur conjoncture. A partir de cet historique il est possible de d’évaluer le risque et d’analyser les impacts donc ace stade il est important d utiliser toujours les données historiques en base externes.
Absolument les méthodes d évaluation se relient a 3 grands familles qui ne sont pas sincèrement exigeant. Les méthodes statistiques, les approches par scénarios et les approches par "scorecards".
Approches statistiques
L'exemple le plus représentatif des méthodes statistiques est l'approche par la « Distribution des pertes » ou « Loss Distribution Approach » Elle es fondé sur une méthode de données des événements de pertes utilisées au sein de l'établissement, et économiser les données de sources externes.
La démarche consiste d'abord à disposer, pour chaque métier et chaque type d'événement de pertes, 2 courbes de distribution des certitudes de pertes, qui présentent la fréquence des événements de pertes dans une période données, l'autre la dureté de ces mêmes événements
Pour chacune des distributions on recherche ensuite le modèle mathématique la plus récente qui rend le mieux sur la forme de la courbe. Pour confirmer le choix d'un modèle mathématique, on met en relation le résultat de ce modèle mathématique et le résultat de la courbe des données réelles : si les 2 courbes si les 2 courbes seront entassé, le modèle est réputé fiable. Le modèle est ensuite est testé avant pour s'assurer de sa puissance. Le capital est alors mesuré en combinant les deux approches (sévérité, fréquence) donc pour chacune la VaR est la perte maximale encourue avec une probabilité, à 99%.
Approches par scénarios
L'approche par scénarios est équivalente consiste premièrement à amener des investigations et des enquêtes systématiques opérés par un experts de chaque métier et de spécialistes de la gestion des risques. C’set à dire chacune travaillent également dans des métiers par le type d’événement adéquate. L’objectif est d'interroger les opérationnels et d'acquérir de leur part une appréciation, à dire d'expert des niveaux de perte de la probabilité et des couts d’incident opérationnel identifiés conformément a une ouverture d’analyse proposés par le comité Bâle. La construction des scénarii organise l'ensemble des facteurs de risque d’une activité donnée on effectuant des provocations qui peuvent varier ces facteurs. Cette approche constituer des éléments intéressantes quand les données historiques ne sont pas suffisantes pour l’applications des méthodes statistique cette dernière trouve son application prêt pour l évaluation des impacts du événement de risque . En effet la méthode statistique décrite l'inconvénient qui présente la considération des incidents opérationnels qui ne prend pas en compte leurs effets éventuellement additionnel au contraire ce qui entrain de dire c’est que l’approche par scénarios n’a pas qu’une carrure purement « qualitatif» il mise en œuvre la réalisation à la modélisation mathématique et les miscellanées théorique sur le sujet.
L'intérêt de cette méthode est de pouvoir saisir la capacité des événements singuliers pour trouver des résultats et des conclusions qui pourraient être menacés pour l'établissement et qu'une approche statistique aurait du mal examiné.
L'approche Scorecard
Cette approche organise ces indicateurs de risque selon le danger du risque sur les données qui fusionnent une vision de préférence des risques opérationnels. Cette méthode consiste à classer pour chaque catégorie de risque une clôture d’appréciation concentrée sur
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