LA COMMUNICATION ET SES ACTEUR DEVOIR 2 _ 1A CNED

Devoir N°2 : La communication et ses acteurs

QUESTIONS LIMINAIRES - (5 points)

QUESTION 1 : Qu’entend‐on par publicité sociologique ? - (1 point)

La publicité sociologique, est une publicité qui concerne un individu inséré dans des groupes sociaux ou dans son environnement social. Celle-ci a pour objectif de s’intéresser aux valeurs, aux goûts, aux attitudes des cibles en prenant en compte leurs différents milieux d'appartenance. De plus, des enquêtes faites à partir de l'observation de l’évolution des mœurs et des loisirs, permettent aux publicitaires d’établir des portraits psychologiques des individus ciblés.

QUESTION 2 : Comment définiriez‐vous les motivations en publicité par rapport aux comportements ? - (1 point)

La motivation, c'est une force qui pousse un individu, le consommateur, à agir dans un comportement d'achats. La motivation, n' est que le manque que ressent un consommateur, et c'est ce manque qui pousse le consommateur à vouloir acheter. De plus, la motivation est un aspect psychologique et est liée à un contexte précis.

Les publicitaires usent des contextes précis, puisqu’ils poussent les prospects à une motivation d'achat en créant et en renforçant le besoin que peuvent ressentir les futurs consommateurs. En fonction de la cible visée et des types de produits vendus, les prospects sauront, quels produits peuvent être bénéfiques et nécessaires aux consommateurs.

QUESTION 3 : Pourquoi peut‐on et doit‐on contester la Pyramide de Maslow ? - (1 point)

Nous pouvons et devons contester la Pyramide de Maslow, puisqu'elle représente dans l'idéal l'ordre dans lequel les individus devraient satisfaire leurs désirs. Elle ne représente pas la réalité actuelle des besoins que les humains peuvent ressentir.

QUESTION 4 : Pourquoi la figure du père est‐elle maltraitée dans la publicité ? - (1 point)

La figure du père est maltraitée dans la publicité puisque cette dernière a évoluée. En effet, cette dernière semble se positionner au-dessus de tout rôle parental. L'autorité paternelle, semble vieille puisqu'elle n'est plus ce qu'elle était autrefois notamment à l'époque romaine. La publicité en profite pour mettre plus en avant les revendications de chacun des membres de la famille et n’hésite pas à exagérer dans certains cas leurs comportements. Les membres de la famille s'individualisent, malgré un père qui revendique son autorité paternelle.

QUESTION 4 : Quelle est la nouvelle typologie des familles ? - (1 point)

Définition → La famille est un groupe social et une entité culturelle avec des pratiques et des rituels identifiables. Elle transmet des valeurs, des normes.

La nouvelle typologie des familles sont les familles recomposées. Le phénomène d'apparition de familles recomposées a pris de plus en plus d'ampleur à la fin du 20ème siècle. Ce phénomène est dû à la souplesse de la rupture du contrat de mariage, en effet, nous observons qu'un mariage sur trois fini par un divorce. Le nombre de divorce a eu pour conséquence l'augmentation de foyers monoparentaux. Comme nous le savons tous, tout être humain a le droit à l'amour, les parents divorcés avec enfants ont donc retrouvés quelqu'un, ce qui conduit par la suite à des familles recomposées.

QUESTION 1 : Expliquez la phrase « Le bonheur ça se trouve pas en lingots mais en p'tite monnaie » en relation avec le titre de la chanson. - (3 points)

Dans la chanson « La petite monnaie » de 1997, le chanteur Bénabar raconte avec un humour des anecdotes qui peuvent sembler optimistes comme pessimistes lors des repas qu'il a pu passer avec sa famille le dimanche midi. La citation « La p'tite monnaie », n'est en fait qu'une métaphore, puisqu'en effet pour le chanteur « La p'tite monnaie » représente tout les petits moments qu'il a pu passer durant sa jeunesse avec sa famille.

De plus la phrase « Le bonheur ça se trouve pas en lingots mais en p'tite monnaie » qui apparaît une fois en début et en fin de chanson, permet à Bénabar de nous donner son point de vue sur les moments de bonheur qu'il a pu passer avec sa famille le dimanche midi. Par cette phrase, nous comprenons bien que le bonheur ne se trouve pas en lingots, supposant ici les grands événements, mais en petite monnaie, lors des retrouvailles avec sa famille, dans un cadre intime, simple et restreint.

Il représente le bonheur de « la p'tite monnaie » par des exemples qu'il a connus lors des repas de famille le dimanche midi : « un chaleureux chahut nous retient autour d’une table » (L1-2), « […] les jeunes mangent leur pain blanc en chatouillant les petits qui s'étouffent en rigolant (L3-4), « Le bébé en bout de table, sur sa chaise d'arbitre […] La grand mère l'embrasse en rital .. j'vous jure que c'est mieux avec l'accent ! » (L13-16). Il nous fait part également de l'insouciance qu'il avait durant son enfance lorsqu'il priait en italien, pensant ainsi que par le biais de la religion italienne, Dieu était italien. (L18-19)

Autant d'arguments nostalgiques vécut lors des repas du dimanche midi par le chanteur, qui nous souligne que le bonheur pour Bénabar se trouve dans « la p'tite monnaie », autrement dit lors des moments familiaux, qu'il n’échangerait probablement pas contre des lingots.

QUESTION 2 : Pensez-vous que l'utilisation que font les annonceurs de la famille est un miroir déformant ou fidèle de notre société ?

Selon l'anthropologue Claude Lévi-Strauss : « Une famille est une communauté d'individus réunis par des liens de parenté existant dans toutes les sociétés humaines ». Selon cet auteur, une famille ne doit pas être obligatoirement composée d'un couple et de ses enfants, pour être considérée comme telle. L'utilisation que font les annonceurs de la famille est à la fois un miroir déformant et un miroir fidèle de notre société, selon le

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