Feuille d'identitié
Lettre type : Feuille d'identitié. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar manueloni • 8 Octobre 2017 • Lettre type • 1 485 Mots (6 Pages) • 771 Vues
FRA 3006 | [pic 1] |
Rédaction administrative |
TRAVAIL NOTÉ 1.1, 1.2, 1.3.[pic 2]
(15 points)
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Feuille d’identité
Nom Moldovan Prénom Catalin Manuel
Numéro d’étudiant 16235671 Trimestre été/automne
Adresse 333 Jacques Buteux
La Tuque, Québec Code postal G9X 2C4
Téléphone Domicile 8195233757 Travail 8195234571p.2693
Cellulaire 8193510737
Courriel manuelcatalinmoldovan@gmail.com
Nom de la personne tutrice Anne Lortie
Date d’envoi 2017-10-10
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Réservé à l’usage de la personne tutrice
Date de réception Date de retour
Note
Allocution de John Manley
Le ministre de l’Industrie s’introduit, remercie son audience, notamment les membres de l’Empire Club à Toronto et amorce son discours sur les changements vécus au Canada engendrés par la mondialisation des marchés et l’économie penchée sur le savoir. L’innovation se produit à un rythme phénoménal, créant à la fois des nouvelles opportunités, tout en rendant désuets des produits de pointe récents. Quoi que résilients, les Canadiens vivent cette transition avec des difficultés. La vitesse du changement leur impose un stress considérable par une nécessité constante de développer des nouvelles compétences. D’autre part, on remarque un impact positif mis en évidence par la création des petites entreprises. La création d’emplois et la croissance dans la nouvelle ère de l’information seront étroitement liées à la qualité de l’infrastructure, au système éducationnel et à la capacité d’innover et à bâtir des partenariats. Par ce discours, le ministre aborde la force du Canada dans le domaine de télécommunications et des technologies de l’information, son point de vue en ce qui concerne le nouvel Accord sur les services de télécommunications de base (OMC) et sa vision de la télévision directe par satellite au Canada (SRD).
Le Canada est chef de file en termes d’infrastructure des communications au monde. Ses produits et services fondés sur les connaissances sont exportés partout. La croissance de l’emploi dans ce domaine est largement supérieure à celle des autres secteurs. De plus, il existe un énorme marché international à desservir. L’évolution rapide de ce secteur repose sur la diminution des coûts du matériel informatique et sur la concurrence accrue du marché. Les clients ont accès à des services progressivement plus interactifs qui deviendront rapidement monnaie courante. Le gouvernement Canadien s’est engagé à encadrer ce secteur de l’autoroute de l’information en se concentrant sur le maintien d’un marché compétitif. Un tel environnement permettra de renforcer la souveraineté et l’identité du Canada, favoriser la création d’emplois par l’innovation et l’investissement et de permettre à tous les Canadiens d’avoir accès à ces services à un coût raisonnable. Quoique des bons progrès ont été faits pour créer un marché compétitif, la transformation n’est pas achevée. Il faut se baser sur des politiques solides permettant de la concurrence durable n’étant pas affectée par des géants de l’industrie domestique ni extérieure. Le développement est tout de même notable vu l’octroi des licences pour trois types de technologies sans fil, créant des milliers d’emplois et ainsi diversifiant l’offre de service. Il est à noter que le Canada devance d’autres pays en ce qui a trait à l’accessibilité de l’Internet et à la qualité sonore de transmission de la radiodiffusion.
Le Canada s’est créé une ouverture au marché international en signant l’Accord sur les services de télécommunication de base avec l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Dans l’intention de cimenter notre accès au marché et de garantir des opportunités aux Canadiens, des concessions judicieuses ont dû être élaborées par notre pays. Il a fallu créer une réglementation plus efficiente dans le but d’éliminer les monopoles et d’implanter un marché véritablement concurrentiel à l’interne.
La technologie de radiodiffusion directe par satellite (SRD) ne faisait pas partie de cet accord. Ce service va de pair avec l’utilisation des antennes paraboliques dans les foyers. Le déploiement de cette technologie repose sur l’existence des radiodiffuseurs au pays, d’une clientèle constituant la demande du marché et un satellite servant d’outil. Un marché existe bel et bien au Canada avec des besoins estimés à 2 millions de foyers. Un facteur inquiétant à considérer est la présence d’un marché gris, impliquant des gens qui captent des signaux des États-Unis et un marché noir, où ces gens volent les signaux sans payer. Ces facteurs pourraient impacter significativement à la production des satellites domestiques. Pour aider à pallier à ce phénomène, le marché interne doit être bien réglementé. Une bonne pratique pour soutenir une concurrence saine et durable entre les cinq radiodiffuseurs Canadiens serait d’imposer des critères soignés de manière à les entraîner à faire profiter directement les collectivités. Afin de parvenir à ces objectifs, le gouvernement a adopté une politique cadre. Cette démarche devrait supporter la mise en place d’un marché concurrentiel et l’évitement définitif d’un monopole. À ses débuts, la réalité du terrain fut éprouvante en raison de l’octroi d’exemptions de licences par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC).
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