La violence dans les cités
Cours : La violence dans les cités. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alexcris • 14 Février 2013 • Cours • 642 Mots (3 Pages) • 797 Vues
Bien qu'il soit particulièrement complexe d'étudier la question de la violence, on a généralement recours à une définition limitée du phénomène qui ne correspond souvent qu'à sa forme la plus récente, celle qu'il a prise ces dernières décennies, ces dernières années... C'est la raison pour laquelle, par le biais des sources et des supports acquis, nous allons tenter d'en formuler une bref succession de paragraphes décrivant : Les Violences Urbaines.
Tout d'abord, nous pensons qu'il est important de souligner que la plupart des formes des violences urbaines sont fréquemment à l'actif des jeunes ( Bien que parfois... ). Nous allons donc nous pencher également, sur ce que l'on appelle la délinquance des mineurs.
La violence est toujours décrite comme « gratuite », sans revendication. Elle prend pour cible les institutions constitutives du lieu de résidence. Elle peut être interprétée comme une réactions des jeunes face à l'exclusion.
Ces violences urbaines, faiblement organisées, vont du plus simple vandalisme à l'émeute et à la guérilla urbaine. Elles passent par conséquent, par une grande diversité de formes : Razzia dans les commerces, rodéo de voitures volées, racket, rixes entre bandes, provocation et injures verbales ou gestuelles contre les adultes du voisinage et les agents des institutions, agressions physiques, trafics divers ( dont la drogue ), saccages et pillages...
Développement
En France, les premières émeutes date de 1981, aux Minguettes, banlieue de Lyon, où près de 250 voitures seront détruites par des jeunes en l'espace de deux mois. Néanmoins, les problèmes encourues par les violences urbaines sont anciens. A Chicago ( vers 1919 ), Harlem ( 1935 ), dans diverses villes des USA ( 1943 ), à Watts et Détroit ( 1962 ) puis à Los Angeles ( 1992 ), on en dénombre de nombreux cas ( A noter que dans cette dernière, la communauté Chinoise est intervenue violemment pour mettre fin aux pillages des bandes d'afro-américains. ).
En outre, Les cibles de la violences s'affirme comme étant publiques : Les institutions publiques ( Police, EDF / GDF, postes, écoles, transports, commerçants ) sont les principaux touchées ( Il s'agit essentiellement, d'institutions qui sont en rapport avec les moyens d'intégration et qui proposent quelques chose qui n'existe pas, ou peu, dans le pays d'émigration ). Difficile de qualifier une telle attitude... Les rédacteurs de Reynier.com la décrive même comme la cause d'une confiance perdue.
D'autre part, les affrontements entres bandes rivales existent comme aux États-Unis ( Le
août dernier, de violents incidents éclatent dans le IXe arrondissement, à Pigalle où une centaine de voyous s'affrontèrent dans les rues à coups de machettes, de hachoirs; de couteaux à cran d'arrêt et de barre de fer... ). Ces formes de délinquances sont, toutefois en baisse, il est même possible, certaines fois, que des alliances se créent afin de se dresser et de lutter de manière plus violentes, avec un effectif plus nombreux contre les forces de l'ordre ( Ce fût le cas, à Villiers-le-Bel, dans les courants du mois de novembre, suite aux décès de deux jeunes adolescents, heurtant une voiture
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