Dissertation sur le bien être animal
Dissertation : Dissertation sur le bien être animal. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Paupauulesne • 26 Mai 2018 • Dissertation • 1 893 Mots (8 Pages) • 923 Vues
Le bien-être animal en élevage
Sommaire :
Page de présentation p .1
Sommaire p.2
Introduction p.3
I. Définition et origine du bienêtre animal
A) Définition p.4
B) L’origine p.5
II. Différentes réglementation mise en place par le gouvernement Français
A) Règlement sur la protection des animaux pendant leur transport p.6
B) Règlement sur l’abattage des animaux p.6
C) Règlement sur les bâtiments p.7-8
III. Les conséquences des règlementations pour
les agriculteurs p.9
Conclusion p.10
Mots à définir et bibliographie p.11
Introduction :
Actuellement en France les agriculteurs se soucient de la santé tant mentale que physique de leurs animaux. Dans la mesure du possible, l’agriculteur essaye au maximum de respecter les règles mises en place par le gouvernement.
Aujourd’hui, nous nous posons la question de savoir comment les éleveurs assurent-ils le bien-être des animaux au sein de leur exploitation ?
Dans un premier temps nous aborderons l’origine du bien-être animal et sa signification. Dans une deuxième partie, nous observerons les réglementations qui existent sur le territoire français. Enfin, nous parlerons des conséquences pour les agriculteurs.
I. Définition et origine du bien-être animal.
-A) Définition :
Le bien-être animal fait référence à la qualité de vie tel qu’un animal au cours de sa vie en fait l’expérience. Le bien-être animal au sens large englobe non seulement la santé et le bien-être de l’animal mais aussi son bien-être psychologique et la possibilité d’exprimer des comportements essentiels propres à leur espèce. Il peut être décrit comme satisfaisant si les animaux, se sentent bien et ne souffrent pas, s’ils sont en bonne santé physique et psychologique
Cinq principes sont énoncés par le Farm Animal Welfare Council en 1992, qui sont toujours d’actualité.
1 Ne pas souffrir de faim ou de soif
Avoir un accès à l’eau fraiche régulierement et à une nourriture adequat assurant la bonne santé et la vigeur des animaux.
2 Ne pas souffrir d’inconfort
Vivre dans un environement approprié comportant des abris et une aire de repos confortable.
3 Ne pas souffrir de douleurs ou de blesures
Prévention ou diagnostic rapide puis traitement.
4 Pouvoir exprimer les comportements naturels propres à l’espèce
Pouvoir profiter d’un espace suffisant approprié aux besoins des animaux , etre en contact avec d’autres congenères.
5 Ne pas eprouver de peur ou de detresse
Conditions d’élevage et pratiques n’induisant pas de souffrance psychologique et physique.
- B)L’origine :
La France met en place en 1976 une politique de protection des animaux avec 3 premiers principes :
1 Ne pas souffrir de faim ni de soif
2 Ne pas souffrir d’inconfort
3 Ne pas souffir de douleurs ou de blesures
En 1999 , une loi de la protection animal ou les animaux ne sont plus considérés comme des objets.
En 2015, les animaux sont enfin considérés comme des êtres dotés de sensibilité.
ART 515-14 : « Les animaux sont des êtres vivants dotés de sensibilité. Sous réserve des lois qui les protègent , les animaux sont soumis aux régimes des biens »
II.Différentes réglementations mise en place par le gouvernement français.
A)Réglementation sur la protection des animaux pendant le transport
Il existe, pour le transport des animaux dans de bonnes conditions un règlement sur la protection des animaux pendant le transport. Il repose sur trois points fondamentaux :
- Les sociétés qui veulent transporter des animaux vivants doivent detenir une autorisation donnée par la direction des Services Véterinaires qui va vérifié la conformité des véhicules.
-Pour les transports de longue durée ( + 8h) les camions bétaillères doivent être équipés d’un système de ventilation et d’abreuvement .
– Il y a des limites de densités à l’interieur des camions et le temps de repos du chauffeur.
B)Réglementation sur l’abbatage des animaux
Il existe aussi un règlement sur l’abbatage des animaux. En plus d’être obliger d’éviter les souffrances évitables
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