Litalisation des échecs économiques et défensifs socialistes
Analyse sectorielle : Litalisation des échecs économiques et défensifs socialistes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar juju774 • 7 Novembre 2013 • Analyse sectorielle • 1 001 Mots (5 Pages) • 564 Vues
La litanie des dénis socialistes sur les plans économique et sécuritaire, qu’on pourrait qualifier de plaisanteries socialistes tellement ces dénis sont grotesques, ne cesse de s’allonger avec la complicité et l’indulgence des médias. L’indigence de Hollande s’accommode de ces inepties qui prennent des proportions invraisemblables dans le quotidien des Français sur les plans économique et sécuritaire.
1. Le 14 Juillet 2013
Que dire de l’intervention de Hollande lors du 14 Juillet et des interventions suivantes qui relèvent d’une méthode Coué indécente par rapport à la réalité économique et à la souffrance d’une partie toujours plus importante de la population ?
L’assistanat et le clientélisme vont malheureusement continuer de paupériser la France. L’absence d’horizon viable pour l’ensemble des catégories sociales ne peut être qu’inquiétant. Que ce soit pour les plus pauvres, pérennisés dans leur pauvreté, ne devant cesser de tendre la main, stakhanoviste de l’aide sociale pour subsister, ou pour les plus ou moins riches, assommés d’impôts, de taxes et de normes pour encourager une gabegie institutionnalisée décourageante pour l’esprit d’entreprise, encourageante à la fois pour l’exil de nos forces les plus vives et pour la jacquerie fiscale ou la magouille. Une réduction de près de 7 milliards d’euros de rentrées fiscales par rapport aux prévisions sanctionne cette politique.
Ce 14 Juillet fut significatif. Tendu, sifflé bien au-delà du mouvement La Manif pour Tous (LMPT), ne saluant pas les blessés de guerre car vexé de son accueil houleux suite à son rendez-vous avec la vraie vie, Hollande paraît résolument perdu, engoncé dans un costume bien trop grand pour un président de Conseil général.
Pour seule réponse, il table sur son sens du comique, façon Fernand Reynaud en petite forme, et son clientélisme exacerbé, se transformant en porte-parole d’un syndicat de fonctionnaires ou de minorités omnipotentes. Ce ton comique et détaché ne doit complaire qu’aux seuls médias : fini le ton résolument ultra-anxiogène de ces derniers du temps de Sarkozy alors que la situation a empiré.
2. L’information socialiste
Nathalie Kosciusko-Morizet, durant sa campagne parisienne, a remarqué que les sujets intéressant les parisiens concernent essentiellement la sécurité et l’immigration. Ces deux sujets sont tout de même très complexes : il convient de ne pas user de facilités verbales et de proposer des solutions réalistes et réfléchies s’agissant de problèmes humains. Le politiquement correct et l’idéologie médiatique ont leurs limites et ne sauront mettre sous le boisseau ces sujets, traités uniquement par les extrêmes (droite et gauche).
Il apparaît que des vérités ne sont pas bonnes à dire et qu’une information d’Etat, contrecarrée par ailleurs par des moyens de communication modernes, ne peut plus travestir la vérité, tel internet ridiculisant littéralement l’information officielle qui subit des baisses de fréquentation importantes (france inter, libération, le monde par exemple). Les émeutes du Trocadéro ne sont pas le fait de l’extrême-droite. Le pillage des victimes, le caillassage des secours à Brétigny et les émeutes à Trappes sont aussi une réalité. La vie rêvée des socialistes n’est plus que déni et réécriture des faits.
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