Une éternelle Insatisfaction
Analyse sectorielle : Une éternelle Insatisfaction. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Chreud • 17 Février 2014 • Analyse sectorielle • 451 Mots (2 Pages) • 633 Vues
Une éternelle insatisfaction :
Dans un contexte plus contemporain, le désir des hommes d’aller toujours plus loin les a amenés à voler de leurs propres ailes. Dès 1979, le Gossamer Albatross traversa la manche grâce à l’action des jambes du pilote qui actionnait une hélice. Le seul engin volant mû par la force musculaire ayant effectué un vol. Un exploit remarquable, mais également, un rêve devenu de plus en plus réalité.
Ensuite, en 1989, à l’université de Cal Poly en Californie, la firme SIrorsky Aircraft Corporation décernait un prix à ceux qui réussissait un vol en hélicoptère à propulsion humaine. Les spectateurs furent très enthousiastes à l’idée de voir de tels envols. Cependant, les essais effectués n’ont pas été très concluant, comme le montre cet extrait de vidéo .
26 septembre 2008, Yves Rossy, dit JetMan, alias FusionMan, est le premier homme à voler avec des ailes fixées sur les épaules...Ce vaudois né en 1959, décolle de l'aérodrome de Calais à bord d'un monomoteur Sukhoi et grimpe jusqu'à 2.500 mètre d'où il se jette portant sur le dos un étrange équipement. À peine 5 minutes plus tard, il survole le territoire britannique, 32 kilomètres plus loin. A l'issu de ce vol il a déclaré : « Au niveau du feeling, je peux imaginer qu'un oiseau, c'est ça, raconte le pilote suisse avec son délicieux accent vaudois. Il n'y a rien entre moi et le milieu. Je suis en osmose avec les éléments. »
Le 2 août 2010, le Snowbird-Human-Powered à propulsion humaine (ornithoptère), conçu et construit par une équipe d'étudiants de l'Université de Toronto a réussi à quitter le sol pendant 19,3 seconde, obtenant le premier succès dans le monde ornithoptère à propulsion humaine.
J'avais lu, dans le magazine "ça m'intéresse" un article sur le laboratoire des fous volants : "En Norvège, une équipe de fous furieux a une passion : se jeter du haut des falaises puis voler au ras des parois rocheuses.
Ils font du 200 km/heure de moyenne, avant d'ouvrir leur parachute. Ces sportifs sont aussi des ingénieurs. Ils fabriquent, dessinent et testent leurs propres combinaisons.
Ils ont déjà frôlé les 300 km/ heure, en ligne droite.
Mais point n'est besoin d'aller en Norvège.
Pour terminer en beauté, Vous allez découvrir Loïc Jean-Albert, un parachutiste français né le 8 février 1978 à Toulon, de plus en plus connu pour ses travaux et ses exploits dans le wing surfing. Il survole littéralement la montagne grâce à un costume étonnant, le wing suit. Accrochez-vous, les images qui vous attendent vont vous impressionner.
Cliquez ICI et mettez-vous en plein écran pour effectuer le vol que vous avez toujours rêvé de faire… BON VENT !
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