Synthèse la vitesse passionnément
Synthèse : Synthèse la vitesse passionnément. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Arnaud Borsnak • 7 Avril 2020 • Synthèse • 806 Mots (4 Pages) • 3 264 Vues
ARNAUD BORSNAK
Dans notre société actuelle, nous pouvons remarquer que la vitesse se retrouve dans tous les domaines. Les voitures, de plus en plus puissantes, vont de plus en plus vite et créent un engouement pour celles-ci. C’est un thème que traite J-P. DOMECQ, dans son essai Ce que nous dit la vitesse. Ce dernier nous parle du sport automobile comme étant ingrat pour le profane mais fascinant pour qui sait le regarder. Dans sa biographie Frêle Bruit datant de 1976, M.LEIRIS raconte et décris une course automobile du Grand Prix de Monza. R.BARTHES traite également le thème de ce sujet dans l’extrait « La Nouvelle Citroën » du livre Mythologies publié en 1957, où il acclame la D.S 19. Enfin nous pouvons voir la vitesse phénoménale d’un bolide dans une photographie de course de Formule 1. Cela nous amène donc à nous demander quels sont les conséquences engendrés par cette grande vitesse. Nous verrons donc tout d’abord le culte de la vitesse, puis l’évolution de l’automobile.
Tout d’abord, nous pouvons observer le fait que de nos jours, tout est exécuté dans la vitesse. Les individus ont un certain besoin de rapidité, et exigent que tout aille vite. Une des causes de cela est la compétitivité et le besoin de toujours aller plus loin. Comme nous pouvons le voir dans la photographie, les bolides coursent a une vitesse tellement importante que nous pouvons apercevoir cette vitesse au travers de cette image fixe. Les trois Formules 1 sont étirés sur l’image et ont peu voir un flou sur celle-ci. La compétitivité est donc un enjeux primaires de cette accélération. J-P DOMECQ nous décris une passion pour l’intensité des compétitions et la fascination de voir ces pilotes qui tournent autour de la mort afin d’espérer de finir premier du classement. La vitesse conduit a repoussé les lois de la physique, ce qui entraîne naturellement des conséquences comme nous allons le voir.
En effet, nous pouvions dire que l’être humain est en perpétuelle recherche de sensation forte. Comme nous l’avons vu, la vitesse est l’une des causes majeures des accélérations.
Le développement des engins de courses est constamment recherché, comme l’explique R.BARTHES en 1957, la nouvelle Citroën tombe du ciel et il l’a qualifie d’un objet supérieur a toute concurrences. L’auteur insiste sur les traits fin de la voiture et l’évolution de celle-ci en terme d’aérodynamisme, et la compare même a une divinité. Une spiritualité se met en place entre l’écrivain et l’automobile qui qualifie d’un art humanisé.
Tous comme son homologue, J-P DOMECQ expose les Formules 1 comme étant des véhicules mythique sur l’asphalte, et que personnes ne restent indifférents face aux pièces mécaniques pointue. Quant a lui M.LEIRIS nous décris les voitures comme étant des bêtes dans une arène, où les moteurs rugissent dans un vacarme qui éveil un délire chez les spectateurs.
Au fil des époques le rapport de l’Homme a la voiture est resté le même comme nous le montre la passion des auteurs. C’est cette passion pour l’automobile qui assure l’avenir de celle-ci malgré les dangers.
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