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Synthese technologies de l’information et de la communication

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Par   •  8 Mars 2014  •  556 Mots (3 Pages)  •  939 Vues

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L’intégration des technologies de l’information et de la communication (TIC) contribue à la simplification de certaines contraintes spatiales et temporelles par l’informatisation des systèmes d’information intra-organisationnels facilitant les échanges et le partage de l’information entre les employés et les différents services de l’entreprise. Ainsi, cette dernière peut faire face aux exigences de ses clients, répondre aux contraintes du marché tout en améliorant sa compétitivité. Après une présentation du concept d’ERP ainsi que ses potentialités et limites, nous évaluerons les différentes approches de la problématique du rapport entre les TIC et le changement organisationnel. Pour ensuite décrire la méthodologie retenue par les auteurs, les résultats obtenues et enfin apporter quelques critiques quant aux résultats sur le terrain et de conclure.

L’erp est perçu comme un instrument adéquat pour opérer le décloisonnement des services, instaurer un langage commun, faciliter le contrôle interne et ainsi améliorer l’efficacité global. Cependant des problèmes de natures différentes se posent : complexité et incertitudes d’impacts organisationnels et stratégiques.

On compte trois différentes approches pour qualifier le rapport entre le TIC et le changement organisationnel. Il s’agit de l’intentionnalité, la contingence du déterminisme technologique et enfin l’approche émergente.

Les auteurs on retenues une méthodologie hybride, alliant la théorie et le terrain. Ainsi grâce à leurs connaissances théoriques ils ont pu tirer des analyses des pratiques dans les quatre sociétés choisies. Ils ont fait ce choix puisqu’il s’agit d’une démarche qualitative qui repose sur des entretiens semi-directifs, comme recueil de données. Les entretiens ont été menés en face à face auprès des contrôleurs de gestion et des responsables opérationnels de quatre grandes entreprises françaises, qui ont toutes la caractéristique au moment de l’étude d’avoir utilisé un ERP depuis plus de 2 ans. Une fois les entretiens menés avec les différents acteurs, les auteurs ont optés pour la méthode des matrices avancées de Miles et Huberman.

Les résultats obtenues sont différents pour chaque entreprises puisque la mise en place du progiciels. Ainsi, chez Pechiney les résultats ont été positifs pour les contrôleurs de gestion, le progiciel a favorisé une évolution de leur fonction vers l’analyse, le conseil et le reporting. En revanche chez l’Oréal les contrôleurs de gestion ont vu leur métier régresser vers des tâches routinières (contrôle de cohérence et intégrité des informations saisies). Enfin chez ADP et FTM l’arrivée de l’ERP a engendré des conflits entre les différents niveaux de contrôle de gestion (centraux et départementaux).

Après lecture et analyse de cette étude il ressort un point très important : ce n’est pas l’outil en lui-même qui nécessite une remise en question mais plutôt la manière dont les directions générales choisissent son implantation. Le choix d’une implantation participative tels que chez Pechiney a montré qu’il s’agissait d’une approche qui porte ses fruits. D’autres parts les auteurs ont émis également des doutes quant à la méthodologie choisie pour leur étude, en effet il se pourrait que celle-ci ne soit pas la plus adaptés à ce genre

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