Question sur arbitraire du signe

Question examen:

- Question sur arbitraire du signe. Regarder texte sur alice au pays des merveilles (chapitre 6, tome 2) : 2 questions

- 3 modèles de communication : retenir les schémas : 2 questions

Inglish : l’anglais de l’Inde

Singlish : l’anglais de Singapour

Le sens ne voyage pas (the meaning doesn’t travel)

Le sens ne voyage pas d’une tête à l’autre.

I. l’arbitraire du signe et la communauté culturelle (Arbitrary of signs and the cultural collectivity)

Arbitraire = Ce qu’il se fait sans raison, c’est une decision illégitime.

L’arbitraire du Prince : quand quelqu’un décide de quelque chose lorsqu’il est élu.

L’arbitraire du signe = Spontanément nous croyons que les choses ou le sens porte le nom que nous avons appris dans notre langue naturelle.

 Ferdinand de SAUSSURE : celui qui a inventé :

- L’arbitraire du signe

- La linguistique

Ecus  cheval

 La pluralité des langues (le fait qu’il y ait plusieurs langues) prouve l’arbitraire du signe.

Ex : on peut attribuer plusieurs noms pour un arbre.

 J.L BORGES : il dit que jamais un anglais n’entendra le mot « moon » comme un espagnol qui entendra le mot « luna ».

 Les cultures ne sont donc pas traduisibles. Peut-être que nous sommes limités à nos cultures en raison de l’arbitraire du signe.

Notre signature c’est notre mot à nous. On l’utilise pour s’exprimer. Ce n’est pas un mot pour communiquer.

Chacun de nous apprenons des signes que nous pouvons partager et il y a d’autres signes que nous voulons garder (comme notre signature).

Le baby talk = langage qu’on emploie avec les enfants. Nous parlons d’une certaine façon, et nous pensons que cette façon de parler veut être entendue.

Condescendance interhumaine = prendre quelqu’un pour inférieure à soi. Car nous pensons qu’ils ne peuvent pas nous parler à égalité.

2eme cours

TED ideas worth spreading (regarder sur internet) : les idées qui méritent d’être répandues.

Question des schémas ou l’infographie (façon de représenter les idées avec des images)

- Il n’y a pas de raison qu’un arbre s’appelle un arbre

2eme hypothèse (la 1ere est l’arbitraire du signe) : hypothèse analogique : il pourrait y avoir une analogie entre les signes et les choses.

Ou bien

- entre les signes (la communication) et les choses, la relation est arbitraire, c’est-à-dire il n’y a pas de raison qu’un arbre s’appelle un arbre.

- Il y a une relation analogique entre les signes et les choses. Signs look like the things.

Ex: I am Hagrid  I agree.

L’onomatopée nous permet parfois de parler avec des étrangers et de se faire comprendre. Mais cela ne marche pas pour chaque onomatopée car chaque langue a sa propre onomatopée.

Ex : dans quelques pays, croiser les jambes lorsqu’on est assis est insultant.

L’infographie (c’est à dire les schémas qui servent à illustrer les chiffres) et peut-être le langage qui se répand aujourd’hui.

 Devoirs pour la prochaine fois : faire un résumé en anglais su vidéo : http://www.ted.com/talks/hans_rosling_shows_the_best_stats_you_ve_ever_seen.html

Il y a quelques années auparavant il a fait un cours à des étudiants avant le diplôme, sur la santé dans le monde. Il est angoissée de faire un cours dessus car il ne sait pas comment rendre les choses sensibles aux étudiants. Il dit qu’il faut fabriquer des images.

Il a posé des questions à des étudiants suédois sur le taux de mortalité et que ses étudiants ont répondu très mal, ils se sont trompés plus d’une fois sur 2 : ça le rend joyeux car ça donnait de la place à un prof comme lui (il y a du boulot). Ils se trompent plus que les chimpanzés. Une fois sur 2 les chimpanzés vont avoir bon (avec des bananes).

Il en conclue, non pas que les étudiants suédois sont bêtes, mais qu’ils ont à faire à des préconceptions, ce qu’on appelle des prénotions (représentation que je me fais car j’ai des préjugés sur les pays). Donc les étudiants suédois répondent selon leurs préjugés. Leurs préjugés font qu’ils se trompent.

Egalité entre le Vietnam et les USA pour la taille des familles et la durée de vie.

An 70 : c’est en Asie qu’il y avait le plus de pauvres.

Il montre que les DATAS ce sont des bonnes données.

- Mortalité infantile en Afrique : très forte

- Politique médicale qui fait que la mortalité infantile baisse

- La durée de vie des enfants s’allongent avec le temps

- Il ne suffit pas d’être riche pour que la santé s’améliore.

- Il est très dangereux d’utiliser des moyennes : car on ne voit pas les écarts de richesse et de pauvreté.

- Pourquoi on ne se sert pas des DATAS que l’on a

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