La mise sous tension d’un moteur
Commentaire de texte : La mise sous tension d’un moteur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar vanou29200 • 25 Avril 2015 • Commentaire de texte • 267 Mots (2 Pages) • 806 Vues
Introduction
Lors de la mise sous tension d’un moteur, l’appel de courant sur le réseau est important et la section de la ligne d’alimentation est insuffisante, provoquer une chute de tension susceptible d’affecter le fonctionnement des récepteurs. Parfois, cette chute de tension est perceptible sur les appareils d’éclairage. Pour remédier à ces inconvénients.
Les règlements de quelques secteurs interdisent, au-dessus d’une certaine puissance.
En fonction des caractéristiques du moteur et de la charge, plusieurs méthodes de démarrages sont utilisées. Le choix sera dicter par des impératifs électriques, mécaniques et économiques.
La nature de la charge entraînée aura également une grande incidence sur le mode de démarrage à retenir. L’objectif de ce chapitre est de présenter quelques modes de démarrage d’un moteur asynchrone à cage d’écureuil.
II-1 Démarrage direct
C’est le plus simple qui ne peut être exécuté qu’avec le moteur asynchrone à rotor à cage. Les enroulements du stator sont couplés directement sur le réseau
II-1-1 couplage et procédure de commutation
C'est le mode de démarrage le plus simple dans lequel le stator est directement couplé sur le réseau (Fig II.1). Le moteur démarre sur ses caractéristiques naturelles.
Au moment de la mise sous tension, le moteur se comporte comme un transformateur dont le secondaire, constitué par la cage du rotor très peu résistante, est en court-circuit. Le courant induit dans le rotor est important. Il en résulte une pointe de courant sur le réseau :
I démarrage = 5 à 8 I nominal
Le couple de démarrage est en moyenne :
C démarrage = 0.5 à 1.5 C nominal.
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