Jeux Videos

De nos jours, les enfants jouent aux jeux vidéos de plus en plus jeunes, comme l’on peut apercevoir sur la photo du document 3, cependant certains jeux comportent des scènes de violentes. Le Docteur Samuel LEPASTIER et le Docteur Marc VALLEUR donnent chacun leur point de vue sur le sujet : sur l’effet catharsis des jeux vidéos, leurs utilités pour les jeunes, la personnalité des joueurs ainsi que les conséquences. La violence des jeux vidéos influent-ils les jeunes ?

En effet, le Dr LEPASTIER lors du colloque sur « La violence des jeux vidéos a-t-elle une influence sur les enfants ? » lors d’un colloque, explique que la violence tragique d’où nait l catharsis : c’est le fait d'assister, en groupe, a une représentation tragique ou les acteurs vont jusqu'au bout de leur passion alors que les spectateurs doivent, dans la vie réelle, en rabattre. Le Dr VALLER rajoute, lors de son entretien dans l’article « Faut-il avoir peur des jeux vidéos ? » publié par Sciences Humaines, qu’il pense que c'est une bonne chose que les jeux soient violents car c’est une catharsis, une manière de faire ce que l'on s'interdit dans la réalité.

Cet effet de catharsis serait une manière pour les jeunes de libérer leurs émotions refoulées et donc jouer à un jeu vidéo comme si c’était un sport.

Ainsi, les jeunes joueraient aux jeux vidéos comme ils pratiqueraient un sport, et resteraient accrochés à leur écran car ils veulent devenir meilleurs et se perfectionner sans cesse comme l’explique Docteur Samuel LEPASTIER. Les jeux vidéos d’après Docteur Marc VALLEUR seraient plutôt un moyen pour les jeunes d'expérimenter une agressivité normale, mais qu'ils n'arrivent pas à mettre en acte dans la réalité. Contrairement à ce que l'on croit souvent, beaucoup de jeunes qui pratiquent ces jeux de manière intense ne sont pas agressifs dans la vie.

La majorité des jeunes qui joueraient à ces jeux vidéos, le feraient comme un divertissement, un sport et ne seraient pas agressif dans la vie réelle d’après le Dr VALLER.

D’après lui, les jeunes qui y jouent sont plutôt des introvertis, des personnes timides qui sont tout le contraire des jeunes violents et agressifs.

Le passage à l'acte suppose que deux conditions soient réunies : que le joueur ait des pulsions agressives et qu'il ait une personnalité narcissique, sans quoi il s'identifierait à la victime, rajoute le Dr LEPASTIER lors d’un colloque.

Les joueurs ne sont pas toujours des joueurs violents ou agressifs cependant jouer à forte dose ou sur certaines personnalités, les conséquences peuvent être différentes.

Par conséquent, d’après le Dr LEPASTIER, à forte dose ou sur des personnalités fragiles, les jeux violents conduisent à des comportements violents. Une image violente ou perverse crée aussi des traumatismes car le joueur n'a pas le temps de la situer dans son psychisme, de la relativiser.

En jouant occasionnellement, il n’y aurait pas de conséquences, cependant à forte dose, la violence dans les jeux vidéos peut avoir des conséquences plus importantes.

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