Souvent, nous entendons que la science est la base de tout mais à quel point cela peut-il être vrai ?

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Souvent, nous entendons que la science est la base de tout mais à quel point cela peut-il être vrai ? Afin de vérifier cette hypothèse, nous allons dans un premier temps, choisir un domaine éloigné tel que les lettres, par exemple le droit, et voir si les connaissances scientifiques peuvent avoir un impact sur celui-ci.

1. Démarche de recherche

En premier lieu, j’ai principalement utilisé Google en essayant plusieurs combinaisons/déclinaison de mots clefs.

• Sciences et droit
• Sciences and the law
• Sciences et droit –politique
• Sciences ou biotechnologies –politique
• Droit et science biotechnologies
• Droit et biologie
• Liaison droit et (science ou biotechnologie)
• Brevetage scientifiques
• Sciences and the law patent

Associé à chaque recherche, je me suis principalement ‘promener’ sur le net et ai consulté les différentes rubriques à disposition et notamment la rubrique livres et vidéos. Grâce à ceux-ci j’ai pu trouvé quelques ressources suffisamment intéressantes pour ma problématique, les autres étant soit hors sujet, soit trop vague.

Suite aux TD, j’ai découvert l’existence de Cairn et d’Isidore où j’ai employé les même mots clefs à la seule différence que je sélectionnais plus précisément la sélection.

Sur Cairn, j’ai sélectionné la discipline du droit pour écarter tout ce qui est sciences sociale, j’aurais tout aussi bien pu mettre dans ma recherche un ‘sauf sociale’.

Sur Isidore, j’ai trouvé qu’il regroupait énormément de ressources que l’on pouvait trier par langues, types de ressources et disciplines ce qui fut très utile pour réduire la sélection et arrivé à des résultats vraiment intéressants pour le sujet.

J’ai aussi essayé différents moteurs de recherche qui ne m’ont pas convenu, surement dû à l’habitude d’utiliser Google.

De même pour certaines bases de données, j’ai trouvé que je m’éloignais trop du sujet malgré l’emploi de ces mots clefs. Les seules qui auraient potentiellement pu être utiles, fut celles de la Bibliothèque de Sciences de Lyon 1 qui m’a trouvé 9 ressources intéressantes au premiers abord et qui malheureusement n’étaient pas suffisamment explicites ou intéressantes. Il y avait aussi celle de la Bibliothèque Chevreuil de l’université Lyon 2 où j’ai trouvé grâce à la recherche avancée 4 ouvrages qui de même n’étaient pas suffisamment probantes.

J’ai également utilisé le flux RSS (sur Cairn et Isidore principalement) qui a pu m’apporter de nouvelles références mais bien trop éloigné du sujet. Je n’ai pas trouvé cela d’une grande aide dans cette recherche même si le système est pratique.

Je suis partie d’un sujet où je voulais prouver la pluridisciplinarité entre les domaines en prenant comme exemple le droit et les sciences. Que malgré la différence de milieu, ceux-ci étaient liés. J’étais loin de me doutait avant mes débuts de recherches houleux, que l’impact que pouvait avoir les sciences sur le droit était si importante. En effet, en affinant mes recherches, un seul message ressortait, la majorité des auteurs s’accordaient à dire que le droit était un reflet de la science et qu’il en était même devenu une. De là, j’ai cherché plus en profondeur en cherchant la cause de ce constat. A la suite de nouvelles recherches, j’ai ainsi pu découvrir des références qui montraient en quoi les sciences jouaient sur l’action du droit comme par exemple l’adoption de loi, ce qui révèle une totale complémentarité entre ces deux domaines qui à première vue, est différente.

1. Bibliographie commentée

BINET Jean-René. Droit et progrès scientifique [en ligne]. Paris : Presses universitaires de France, 2002, 314 p. (Partage du savoir) Disponible sur <https://www.cairn.info/droit-et-progres-scientifique--9782130532040.htm> (consulté le 23 mars 2017)

Jean-René Binet, professeur de droit privé à l’université de Franche-Comté et auteur de plusieurs ouvrages (sur le droit de la famille, la bioéthique ainsi que le droit médical), va nous parler ici de l’influence des sciences sur le droit. Il va nous montrer comment ces deux domaines qui, aux premiers abords ont l’air si différent, vont se compléter jusqu’à considérer le droit comme étant une science à part entière. Nous dirons alors qu’il n’est pas régi par la morale mais plutôt par des faits avérés. On va ainsi nous apprendre que les sciences peuvent être un support aux droits.

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