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Rapport sur l'hudsonia borealis

Étude de cas : Rapport sur l'hudsonia borealis. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  2 Janvier 2016  •  Étude de cas  •  2 198 Mots (9 Pages)  •  854 Vues

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Techniques du milieu naturel

Inventaire de la Végétation

147-334-FE

[pic 1]

Guide de reconnaissance des habitats potentiels pour Hudsonia tomentosa

Travail remis à : Sylvain Larouche

Equipe : Lou Warin, Nolwenn Collin, Benoit Plantard, Adrien Dupis

Cégep de St-Félicien

Session Automne 2015



Table des matières

Table des matières        

Liste des tableaux        

Liste des Figures        

Introduction        

I-Matériel et méthode        

I.1-Liste du matériel        

I.2-Méthodologie        

II-Résultats        

III-Discussion        

Conclusion        


Liste des tableaux

Liste des Figures


Introduction

Hudsonia tomentosa [Nutall] appartient à la famille des Cistaceae (dont seulement 2 représentants sont présent au Québec, l’autre espèce ce nome : Hudsonia ericoides). Cette espèce est indigène à l’Amérique du Nord. Elle préfère les milieux xériques et éolien comme les rivages sablonneux ou à l’intérieur des terres les dunes et les dépôts éoliens (Petitclerc et Dignard, 2004).

Dans le cadre du Lac Saint-Jean, ces dépôts se sont formés lors du retrait de la Mer Laflamme au Quaternaire (Bourque P., Université Laval, 2010). En effet lors de sa diminution de superficie, le manque de strate arbustive et arborescente ne créant plus de barrières naturelles contre le vent, de nombreuses dunes se sont créées. . On peut encore en observer de nos jours autour du lac. Les dépôts calcaires accumulés dans le fond des océans ont créé un substrat essentiel au développement de cette espèce. Elle est pyrofite.

Le contexte historique sur le lieu du mandat qui a favorisé l’apparition de H. tomentosa est liée à sa forte dépendance aux feux de forêt. Un grand feu de forêt en 1941 (Larouche S., 2015) qui a était suivit par une période de cycle d’incendie rapproché sur une courte durée dans le temps a favorisé une plus grande ouverture des milieux et l’implantation de cette Cistaceae.

Les caractéristiques de ce type de milieu sont tout à fait indiquer pour cette plantes. Sa disposition en petit coussin d’à peine quelques centimètres au stade mature lui permet par exemple de moins subir les effets mécaniques du vent, et aussi les déperditions thermiques, car sa situation dans des milieux ouverts lui offre une grande exposition aux effets éoliens. Ces feuilles imbriquées, appliquées et caduques sont un de ses mécanismes d’adaptation à ces situations. Les fleurs sont disposées de façon nombreuse et sessile à l’extrémité de pédicelle (petite tige portant une fleur unique). Elles sont jaunes, de 2 à 5 mm et rougisses lorsqu’elle vieillit. Le calice porte 5 pétales libres (Petitcler et Dignard, 2004) . La tige est quand a elle couverte d’une fine pubescence.

Pour ce qui est de ca situation législative elle est considérée comme susceptible d’être menacée ou vulnérable dans 20 des 31 provinces, territoire et états où elle se rencontre (Labrecque et Lavoie, 2002). C’est-à-dire que bien que non protégée par un cadre législatif, ça situation et ses exigence particulière en font une espèce représentant un grand intérêt de préservation et d’étude de la part des scientifique. Il est important de noter que dans la flore laurentienne du frère Marie-Victorin, elle y est décrite comme très rare au Québec (Marie-Victorin, 1995).


Matériel et méthode

Liste du matériel

  • GPS
  • Prisme
  • Fourchette à gaule
  • Guide (Petite flore forestière ; Arbres et plantes forestières)
  • Gallon rétractable
  • Gallon circonférentiel
  • Baguette de 1.30m
  • Tablette à pince
  • Fiche de prise de donnée
  • Dossard
  • Boussoles

Personnel

  • Note de cours
  • Equipement de sécurité
  • Crayon

Méthodologie

Dans un premier temps, il faut repérer la placette a inventorié à l’aide des coordonnée GPS fournis au préalable et enregistrer lors de l’installation des placettes. Les placettes étant déjà existantes à la date de l’inventaire. Dans le protocole, les placettes sont divisé en Nord, Sud, Est, Ouest. Seules les parties Nord et Sud sont inventoriées. La boussole sert ici aussi bien à déterminer l’azimut des parcelles qu’à déterminer où est le nord, et où est le sud lorsque les marquages aux sols ne sont pas visibles. Il faut ensuite déterminer la surface terrière, cela est réalisé à l’aide du prisme et permet de savoir si le lieu représente un milieu potentiellement propice à l’installation de la plante (milieu qui répond aux exigences de la plante en matière de concurrence interspécifique). A l’aide des deux guides d’identification disponible dans le matériel et des connaissances acquises lors de la formation, les essences présentes dans la parcelle d’après le prisme sont identifiées et les résultats inscrits sur la feuille de notes. La zone d’écoulement des eaux de pluie est aussi déterminer à l’aide de la clé présente sur les feuilles de note et qui permet de déterminer le type de pente et sur qu’elle partit de la dune et situé la parcelle. L’inventaire des part Nord et Sud est effectuer ensuite, où, sera dénombrer le nombre ainsi que les espèces présentes, et la surface qu’elle recouvre. Les débris ligneux sont aussi pris en compte.


Résultats

Tableau 1 Nombre d'hudsonie inventoriées en fonction de son habitat favorable réel lors de l'inventaire, exprimer sur base de 100%

[pic 2]



[pic 3]

Figure 1 Histogramme représentatif du nombre moyen d'hudsonie transformé en fonction de la pente (Haut, Moyen, Bas)

[pic 4]

Figure 2 Histogramme représentatif du nombre moyen d'hudsonie par forme de pente, uniquement dans les placettes ou un recouvrement minéral a été observé

[pic 5]

Figure 3 Histogramme du nombre moyen d'hudsonies suivant les différents cas de situation de pentes.

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