Rapport jauge d'Owen
Synthèse : Rapport jauge d'Owen. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar owendias • 2 Mai 2021 • Synthèse • 1 758 Mots (8 Pages) • 855 Vues
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Jauge owen
La mesure des poussières sédimentables
Table des matières
Introduction : CADRE ET OBJET DE L'ÉTUDE 1
2. MÉTHODES ET MESURES TECHNIQUES APPLIQUÉES 1
2.1. Méthode de mesure 1
2.1.1. Principe 1
2
Figure 1 : Schéma du cycle des particules étudiées. 2
2.1.2. Description de l'appareil de mesure 2
2.1.3. Préparation de l’appareils 3
2.1.4. Installation de l'appareil 3
2.1.5. Retrait d'appareils 3
2.2. Laboratoire médical 3
2.3. Analyse et présentation des résultats 4
2.4. Interprétation des résultats 4
2.4.1. Comparer les résultats avec des valeurs de référence et / ou des repères. 4
2.4.2. Comparez les résultats entre les campagnes 4
2.4.3. Comparaison des résultats entre les zones étudiées 4
Conclusion : 5
Bibliographie : 6
Introduction : CADRE ET OBJET DE L'ÉTUDE
Les carrières mènent des programme de mesure des retombées de poussières atmosphériques autour de leur site pour anticiper les évolutions réglementaires (projet de guide INERIS1).
La mesure est réalisée selon une procédure normalisée telle que décrite dans la norme NF X 43-0142, qui permettra d’évaluer l'importance quantitative de la chute de poussière autour de la carrière exploitée et de mesurer l’«état zero» avant l'exploitation des carrières servant de référence tout au long de l’activité d’extraction.
A titre d’exemple, des carrières proches de l’établissement comme celle de Lunel, Castries ou Combaillaux ont fait évaluer leur retombée via Atmo-Occitanie en 2019 dans le but de comparer au mesures faites avant le début de leur activité. Les rapports sont disponible sur le site de Atmo-Occitanie et les lien des rapport annuelle en annexe. Ces mesurse de la qualité de l'air utilisent depuis quelques décennies en extérieur des jauges Owen qui recueillent passivement les dépôts de poussière, dont on peut ensuite analyser des échantillons, sachant qu'une fraction biodégradable pourra avoir disparu, et que des bactéries pourront s'y être multipliées si les délais d'analyse sont importants.
2. MÉTHODES ET MESURES TECHNIQUES APPLIQUÉES
2.1. Méthode de mesure
2.1.1. Principe
L'émission de poussières dans l'atmosphère est généralement un phénomène d'écoulement discontinu. En fonction de la taille, de la granulométrie et de la nature des particules et des conditions atmosphériques (vent, température, humidité), les particules ont un temps de séjour plus ou moins long dans l'atmosphère et seront éliminées par deux processus de sédimentation atmosphérique distincts:
- retombées sèches (due à la gravité, au mouvement brownien ou à l'impact et à l'interception);
- rétombées humides (emportées par les pluies ou retenues par des gouttelettes d'eau trouble).
Les retombées sèches et humides sur le sol sont mesurées à l'aide de collecteurs de pluie. Cette méthode normalisée, NF X 43-014 «Détermination des précipitations totales» de novembre 2003, permet de prendre en compte les niveaux de dépôt actuels dans la zone d'étude.
Cette mesure caractérise les dioxines et furannes qui se déposent au niveau du sol. Ce dépôt intervient sous trois formes principales : gazeuse sèche, particulaire sèche ou humide, ce qui implique des phénomènes de fixation différents (adsorption, précipitation…). Les collecteurs de retombées utilisés sont des jauges Owen.
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Figure 1. Schéma du cycle des particules étudiées. |
2.1.2. Description de l'appareil de mesure
Les collecteurs Owen (Figure 1) se composent d'un entonnoir surmontant une bouteille de collecte souvent en polyéthylène de 20 litres.
Le contenu du flacon est protégé de la lumière pour réduire la multiplication des algues et des microorganismes. Le conteneur est équipé d'un bouchon de transport hermétique. Le tout est placé sur un trépied qui sert de support. La hauteur de collecte (tête d'entonnoir) est de 1,5 mètre au-dessus du sol afin d’éviter une sur-contamination de l’échantillon par le ré-envol de poussières sur le lieu de prélèvement. La surface de contact avec l’air ambiant est de 471 cm². Tous les éléments suivent un protocole de conditionnement avant l’installation, afin d’éviter toute contamination initiale.
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Figure 2. Présentation de l'appareil de mesure. |
2.1.3. Préparation de l’appareils
En effet, toutes les pièces en contact avec des précipitations humides et sèches ont été nettoyées avant l'assemblage. Les différentes pièces sont nettoyées avec de l'eau distillée acidifiée à 5%. Le lavage est toujours terminé par plusieurs rinçages à l'eau distillée.
Une fois la phase de préparation terminée, les bouteilles sont fermées hermétiquement. Les entonnoirs sont enveloppés d'aluminium. Ces protections sont retirées à la dernière minute lors du montage sur site.
2.1.4. Installation de l'appareil
Le choix de l’emplacement de chaque appareil autour de la zone étudié est importante. Dans chacune des zones, la localisation exacte des jauges répond aux exigences de la norme NF X 43-014 susvisée. Ainsi, chaque station a été sélectionnée après vérification:
- pas de relief clair à proximité immédiate de la station;
- aucun bâtiment à proximité de la gare;
- absence de végétation ligneuse dominante sur le site de mesure;
- pas de cours d'eau ou de sources d'humidité excessive à proximité.
L'installation commence par l'installation de compteurs à chacune des stations de mesure. A la dernière minute, des bouteilles précédemment transportées fermées sont installées sur les supports des manomètres, ouvertes et remplies d'une quantité connue d'eau faiblement minéralisée (exactement V1 = 500 ml) pour limiter la ré-échappement des particules. Cette action marque le début de la mesure.
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