Comparaison des sols

Hamdane Abderahmane&Belkheir Karima 2nd 1

Montrer que les activités humaines peuvent modifier la biodiversité des écosystèmes et que cette modification peut avoir des conséquences négatives pour l’humanité.  

Comparaison entre deux sols ; l’un cultivé l’autre non.[pic 1]

Dans le sol cultivé (sol agricole) ; On peut voir que dans le sol cultivé, il n’y a pas de biodiversité parce qu’il y a aucune espèce végétale ou animale. On voit bien que ce sol a été traité avec plusieurs produits d’agriculture, comme les pesticides et les engrais. L’agriculteur à supprimer la biodiversité dans ce sol, il n’y a plus aucune trace de plante qui nuirait au développement du sol cultivé et contrairement au sol du sous-bois il n’y a pas d’espèces animales comme les lombrics ou les cloportes  qu’on trouve dans le sol non-cultivé.[pic 2]

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Dans le sol non-cultivé (sous-bois) ; On trouve dans ce sol, un exemple type de la biodiversité parce que tous ce qu’il n’y a pas dans le sol agricole, nous le trouvons dans le sol non-cultivé et on voit bien que ce sol n’ai pas été traité qu’il est totalement naturel. Au niveau des espèces animales elles sont présentes dans ce sol et contribuent à ce sol tout comme les Macrofaune, les Mésofaune ou les champignons microscopiques et les bactéries qui ont un rôle écologique.

Voici l'exemple types d’être-vivant contribuant au sol (sous-bois)[pic 5]

Macrofaune est une espèce d’êtres-vivants qui font (taille>2mm), comme les Annélides (lombric = vers de terre), araignées, insectes, mollusques, myriapodes (=mille-pattes)… Le rôle écologique des Macrofaune est d’aérais le sol, ils se nourrissent de la matière organique morte (comme les feuille), ils brassent la matière organique avec la matière minérale, les lombrics enrichissent le sol en matière minérale par leurs excréments.

Mésofaune est une espèce d’êtres-vivants qui (0.1

Les champignons microscopiques et les bactéries ont aussi un rôle écologique pour ce sol ; ils dégradent la matière organique végétale en divers composés de l’humus   (matière organique du sol) et ils décomposent la matière organique en matière minérale.

Pour paller à l’absence de la faune à cause des produits comme les pesticides ou les engrais, l’agriculteur dans son sol agricole doit utiliser des engrais naturels comme le fumier ou le purin qui servent à enrichir la terre, et par conséquent pour ramener la présence de la faune.

L’agriculteur, petit à petit, avec ces nombreuses utilisations pour fructifier la poussée de ses moissons, il finira par tuer son sol.

Le sol est lent à se former et il est inégalement réparti. Il dépend de l’interaction entre les roches et la biosphère avec la présence d’eau et la température. Il peut être facilement dégradé et même détourné de sa fonction biologique.                          (Voir schéma Bilan = la vie d’un sol) Sa gestion est importante pour l’humanité.             La prévision en 2050 de 9 milliards d’habitants ce confirment avec la population qui augmente de jour en jour. Le réaménagement des terres, l’étalement urbain qui prend une grande ampleur, les changements climatiques, les nombreuses pollutions  qui font souffrir les sols et leur biodiversité ; ils peuvent entrainer leur « mort ».

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