Classification des maladies génétiques
Commentaire de texte : Classification des maladies génétiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cha54chris • 21 Mai 2014 • Commentaire de texte • 891 Mots (4 Pages) • 687 Vues
LES BASES ESSENTIELLES DE LA NOTION D’HEREDITE.
Classification des maladies génétiques :
2 grandes entités :
- Maladies génétiques :
Maladies monogénétiques (mendéliennes).
Anomalies chromosomiques.
- Maladies à composante génétique :
Maladies à gène majeur de susceptibilité.
Maladies polygéniques / multifactorielles.
Fréquence :
- Maladies monogéniques : 1%
> 4000 phénotypes.
¼ létales dans l’enfance.
1/3 avec mort prématurée de l’adulte jeune.
- Anomalies chromosomiques déséquilibrées : 0,62%
- Maladies multifactorielles (malformations congénitales incluses) #3%
- Fréquence globale :
Objectifs de la génétique médicale :
- Diagnostic :
Clinique.
Arbre généalogique.
Test « génétiques ».
Bases de données (www.orpha.net)
- Conseil génétique :
Informer :
• Mode d’hérédité.
• Risque de récurrence.
• Possibilités de dépistage.
Orienter dans le système de santé.
Aide à la décision :
• Choix de reproduction.
Aspect transgénérationnel spécifique.
L’arbre généalogique.
- Indispensable pour apprécier un mode d’hérédité.
- Nomenclature internationale des symboles.
Probant = personne venant en consultation.
Maladies monogéniques : hérédité selon les lois de Mendel.
Localisation chromosomique des gènes :
- 46 chromosomes : 2 x 23 chromosomes.
- 1 à 22 => autosomes.
- X et Y => gonosomes.
Hérédité autosomique.
- Dominante.
Aussi bien filles que garçons, transmission dominante (ex : hypercholestérolémie familiale).
Conseil génétique :
• Mutation hétérozygote (une seule copie du gène muté) => responsable de la maladie.
• Un individu atteint à un risque de ½ de transmettre la maladie à ses descendants, quel que soit le sexe.
- Un saut de génération sans maladie => la pénétrance d’une mutation.
Pénétrance incomplète (6malades / 9 porteurs mutation) = 67%
Influence de l’âge sur la pénétrance :
- La maladie de Huntington (révélation à l’âge adulte).
Une même mutation s’exprime différemment au sein de la famille => expressivité variable.
- Holoprosencéphalie.
- Incisive maxillaire médiane isolée.
Une maladie dominante est-elle toujours héritée ?
Mutation récente.
- Coefficient d’adaptation « reproductive fitness ».
- Effet de l’âge paternel à la conception (pour maladies monogéniques).
La mutation est-elle distribuée de façon homogène dans toutes les cellules ?
Mosaïque somatique (atténuation de l’expression clinique).
Mosaïque gonadique (2 population : possède la mutation dominante ou pas).
- Ostéogénèse imparfaite (maladie des os de verre) : hérédité dominante.
L’un des deux parents a une mutation en mosaïque qui siège au niveau des gonades.
Une présentation inhabituelle : atteinte plus précoce et plus sévère des sujets au cours des générations.
Phénomène d’anticipation.
Phénomène d’anticipation : la dystrophie myotonique de Steinert.
- Hypotonie néonatale : troubles neurologiques.
Hérédité autosomique : récessive.
- Mucoviscidose.
Transmission horizontale.
Parents avec mutation hétérozygote récessive sont sains.
2/3 probabilité d’être hétérozygote dans la fratrie => non malade.
¼ malade.
Mutations homozygotes ou hétérozygotes composites.
Les maladies autosomiques récessives :
Favorisées par les unions consanguines.
La consanguinité :
2 individus apparentés, ayant un ancêtre commun, ont un risque plus grand d’avoir reçu de leur ancêtre commun, le même gène avec une mutation hétérozygote, et donc d’avoir des enfants homozygotes (autozygotes).
Conseil génétique pour un couple apparenté :
Risque d’avoir un enfant autozygote.
- Risque
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