Lecture analytique du chapitre 2 d'un extrait des essais de Montaigne
Commentaire de texte : Lecture analytique du chapitre 2 d'un extrait des essais de Montaigne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anass Musnaoui • 27 Juin 2017 • Commentaire de texte • 764 Mots (4 Pages) • 1 043 Vues
Lecture analytique n°2 : La rencontre Suzanne, Eddy
Deux protagonistes => dans un promontoire => tentatives de vols de Suzanne (flagrant délit) => sanction donc une volonté d’une vengeance qui consiste de sauter du promontoire
- Caractéristique du roman d’apprentissage => coup de foudre amoureux => classique
- L33 : face à face=>confrontation, il cherche à le punir en lui infligeant une punition, une vengeance qui est dangereuse=> entre les deux règne une certaine tension, une rivalité puisque Suzanne ne peut rejoindre le groupe que si elle relève ce défi (bizutage)
- Point de vu de Eddy : il est défié dans son autorité (3ieme paragraphe), car (L22=> pensé rapporté du personnage) c’est une fille qui lui tête de façon explicite=> inversion des rapports entre les personnages (la narratrice rapporte de façon : discours directe)=> L1=> la situation est renversé par Suzanne=> réflexion philosophique
- Deux points de vu : la narratrice adopte d’abord le point de vu d’Eddy (ce qu’il perçoit premier paragraphe) ensuite celui de Suzanne (perception)
- L31=> référence à l’amour=>métaphore du feu désigne la passion amoureuse(Phèdre)
- Point de vu d’Eddy (référence au cop de foudre) : l2, il idéalise Suzanne, champ de la lumière qui désigne l’idéalisation (cristallisation=> Stendhal)la narratrice met des mots très savants sur ce qu’il se passe=> empathie , il se focalise sur le peau, l6. La narratrice utilise un vocabulaire que le personnage n’utiliserai pas => bizutage extrêmement violent l27 => focalisation sur la peau, la chair=> forme de sensualité (attirance physique qui passe à travers le regard)
- Modalisation L5=> c’est ce qu’il pense=> barrière sociale (discours indirect libre) => préjugés=> il se moque sur son milieu
- Point de vu de Suzanne : L28=> préjugé (limite du coup de foudre)
- Ils ont un partage du même gout de risque
- Points commun : fascination sur le vertige (sensation du vide=> désir du défi de mourir et la transgression), tempérament mais il y a aussi une ressemblance L18=> un même sourire (référence à un poème en prose de Baudelaire=> fraternité et une même fascination du mal), rapproche physique : L26
- L’ambivalence entre les deux personnages (aimantation) : rivalité et amour en même temps => comparaison L37( caractère animal et violence de part et d’autre => rivalité et une attirance physique prêt à bondir l’un sur l’autre => ambivalence
- Idée de fusion amoureuse entre les personnages.
I/ Un coup de foudre paradoxal
Les deux premiers paragraphes :
-Utilisation des verbes de perception L2, L12, focalisation à la peau L6, asyndète qui sert à juxtaposer (L7-8) => point de vu interne (discours indirect)=> vocabulaire organique( donc ca vie), ce vocabulaire scientifique est la pour essayer de nous faire percevoir que les sensation ne sont pas toujours lié a la vu mais au désir qui est le leur.
-Regard de Suzanne s’attarde sur la peau d’Eddy=> l27-28
-Processus d’idéalisation : comparaison (déesse), métaphore L31 du feu qui fait référence à l’amour
-L30 : mode narratif : présent de narration
Cependant, une barrière social apparait grâce à un discours indirect libre des pensées qui ne sont pas dénuées de tout préjugés qui sont de classe sociale :
-L5-6 ,le personnage est train d’imaginer les phrases tout fait de sa mère=> il se moque su l’idée qu’il se fait sur la bourgeoisie, et ces préjugé vont renforcé la prise de risque, la on voit que ce sont les pensées d’Eddy( personnage perplexe),L9,10,11=>discours indirect libre (termes familiers et montre bien la force des préjugés et la barrière),L29-28=> les préjugés sont d’un autre ordre qui se rattache à des sensation olfactifs, stéréotype=> connotation et le juge sur en fonction de ce qu’il mange (mcdo=> milieu populaire)
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