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Sociologie de la culture

Fiche de lecture : Sociologie de la culture. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Mars 2017  •  Fiche de lecture  •  9 141 Mots (37 Pages)  •  780 Vues

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Anthropologie et Sociologie de la culture

Cours du 18/01

Evaluation :

Un travail d'évaluation sur table que sur la sociologie de la culture pas l'anthropologie de la culture. + Une fiche de lecture

2 grandes séries de remarques :

  1. Un recourt au « terrain » = comme un credo pour les sociologues, faire du terrain !
  2. Les paradigmes

Ces deux points sont comme une évidence, pour tous projets de mémoires et travail de sciences sociales et bien on retrouve ça, c'est à dire une confrontation à l'empirique et des éclairages théoriques.

Un mémoire c'est quoi ? La confrontation d'Obsrvations empririques et de cadres théoriques qui vont permettrent d'éclairer le mémoire = L'entrecroisement

Plan de mémoire :

Eviter la partie théorique et la partie empirique = ca ça va peu dialoguer

2 thèmes dans lesquels il y aura des constats etc..

D'autres entrecroisent l'empirique et le théorique en même temps

Pour l'anthropologie culturelle : Une référence au terrain qui est très importante et les paradigmes.

Pour le terrain : 3 choses

Il faut aller questionner le terrain pour y répondre

Choisir l'entrée pour un terrain : exemple, le lieu et l'espace etc etc..

        Le terrain est une très vieille préoccupation au XIXeme siècle. ( 1800 soit 10 ans après la Révolution Francaise = l'homme régéné c'est l'idée de 1789 ) et 1800 c'est aussi « L'enfant sauvage » cas empririque de l'état de nature. Donc vieille préoccupation anthropologique. Il serait important de s'intéresser à des cas : celui de Malinovski 1914- 1917 et Levis-Strauss au Brésil en 1938. Malinovski est un anthropologue d'origine polonaise il ne va cesser de s'interroger sur : qu'est ce que faire du terrain et donc il est hanter par l'expression « d'observation participante ». A priori l'orsqu'on s'implique on s'imerge et lorsqu'on observe on se distance. Lorsqu'on arrive sur un lieu on ne connait pas la culture d'un lieu avec on est déjà distancier et là, il faut oublier sa propre culture pour essayer d'épouser. S'impliquer c'est citiquer au sens du discernement. Qui a la clé et le sens de l'interprétation ? Qui décide du sens d'une pratique culturelle/rituelle ?

        « La lecçon d'écriture » de Claude Levis-Strauss = sur les pouvoirs de l'écriture. Le terrain de l'anthropologue est un terrain en chair et en os. On est pas dans un bureau etc, etc. C'est ca la nuance entre le terrain au sens large et le terrain anthropologique.

Malinowski, une tension entre l'implication entre trop près : on est dans la fusion  = grand risque de la perte de la distanciation trop loin : on est trop séparé et Malinowski l'a thématisé. « journal d'ethnographe » il parle de sa détresse quotidienne, de ses problèmes de santé, de son problème de racisme, et de sa sexualité. « Ma compagne quotidienne, c'est la détresse ». C'est une figure paradigme du terrain Malnowski.

Sur le terrain : La figure de l'informateur – au delà de l'anthropologie c'est la personne qui permet de nous faire éviter les gaffes. Car comme le dit Levis-Strauss, on peut marcher pd 6 mois avc des personnes et les distances de durcissent etc... et l'Informateur va décoder les pratiques culturelles.

Parfois on ne le trouve pas mais quand on rencontre quelqu'un qui est sensible à nos problématiques etc alors là, c'est une personne ressource.

L'écriture du terrain = la restitution. Le livre « ici et la-bas » = la bas , on observe et après 2 ans ou 2 mois, quand on revient on va écrire ce que l'on a vu pour restituer et donner à voir aux personnes qui'ont pas vu. C'est une traduction et donc dit un peu « trahison ».Lors que vous restituez du terrain il y a toujours ce risque.

La figure picturale avec 3000 nuances = peindre une société en essayant de tout embrasser avancer comme modèle de la représentation ethnographique.

La photographie et les limites : La photographie à valeur de témoignage et permet d'accéder au terrain et les deux grands reproches fait sont : l'auto-reférentialité, souvent la photo n'offre pas le commentaire.  Elle est muette. Et la deuxième critique c'est que la photographie ne dit rien du contexte. Cette question de l'écriture fait partie des difficultés de l'anthropologie car on en est pas habitué. Et donc, est-ce que la description est neutre ? ( Fleury a du mal à adhérer à cela).

2) La question des questionnements du paradigme :

Comment on passe d'un questionnement à un paradigmes

5 paradigmes en anthropologie :

l'évolutionnisme

le diffusionnisme

le culturalisme

le fonctionnalisme

le structuralisme

le paradigme = état de la connaissance stabilisée qui va structurer les manières de penser etc..

L'évolutionnisme du XIX eme siècle : les sociétés évolueraient toutes dans le même sens.

Quel est le questionnement de l'évolutionnisme : derrière la diversité observée entre les sociétés et bien comment penser l'unité de ces sociétés derrière l'anxiété et donc c'est comment repenser une unité possible du genre humain derrière une diversité.

Le diffusionnisme : va partir va être très critique à l'égard des évolutionnistes. Ils vont dire qu'ils ne faut pas partir de la diversité mais des points communs et les diffusionistes vont avoir une perspectives presque géographique vont s'intéresser aux emprunts, aux greffes etc.. et forger le concept d'acculturation = transformer ses modes de vies, jusqu'à transformer ses repères spatiaux-temporels. Donc c'est l'inverse des évolutionniste.

Le culturalisme : l'obejction culturaliste à ce qu'on vient de voir ( évolutionnisme + diffusionnisme)

BOAS = fondateur de l'anthropologie culturelle américaine. (1910) Il montre que la taille de la boîte cranienne peut se modifier sous l'influence de la culture, de l'éducation donc ce n'est pas physiologie comme les autres le penser. Les deux premiers s'opposent mais ils sont dans le même

Objection culturaliste : cessons de comparer et si on observe une société ne soyons que sur cette société-là. C'est comprendre ses codes, ses conventions qui rentrent en jeu. Et Qeertz se revendique de Weber. Le culturalisme s'est déplyé sous forme de déculturation. Donc c'est un aure questionnement que les points communs ou la diversité.

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